Les voisins de M - Histoires de Sexe

Les voisins de M

... triangle de poils très courts dont la pointe finissait à la naissance de la fente que je pénétrai délicatement avec le phallus artificiel mis à ma disposition par son mari. Pendant que je détaillais, en l’introduisant, ce corps magnifique, M et J-L s’étaient assis sur le canapé. Ils m’observaient « faire du bien » à Véro, souriant tendrement l’un et l’autre. Faire du bien à Véronique, cela me semblait bien être la parfaite réalité tant l’olisbos, que je coulissais dans sa chatte, était brillant de foutre, tant ses cuisses étaient secouées de légers tremblements. M remuait les siennes, les ouvrant, les refermant au rythme de mes intromissions. — Je crois bien, que tu viens de faire jouir, silencieusement, ma petite coquine. C’est sûr, on va bien s’entendre tous les quatre… M est adorable… Si tu les avais vues toutes les deux hier soir, elles étaient à filmer. Quand on s’est laissé aller, M coulait son plaisir de partout. Véro n’a pas pu s’empêcher d’aller boire à cette source intarissable. Elles m’ont mis dans un tel état, que ma bite m’en faisait mal. La seule chose que je regrette, c’est de n’avoir pas pu me glisser dans le tendre fourreau de ta Belle. J’aurais bien aimé goûter à son humidité et sa chaleur intérieure mais, elle n’a pas voulu, je crois, parce qu’elle ne voulait pas te tromper. Je me suis vengé sur Véro, à son plus grand contentement.— Le salaud était excité comme pas un, j’y ai eu droit partout ! C’est vrai, ta petite femme est bonne, je n’avais jamais eu ...

... autant de plaisir avec une autre… Et toi, tu viens de me faire jouir très correctement. J-L l’a bien vu, il me connaît tellement. Il aime tellement me voir jouir d’un autre que, j’en suis certaine, il bande comme un démon… Veux-tu vérifier, M ? C’est sûr, on se complétera bien, tous quatre ! Les dés étaient jetés, Ils venaient de me convaincre. À Dieu vat… M, le devinant, m’adressa un sourire des plus enchantés. J’acceptai, sans restriction, la relation dont elle avait envie. D’un bond, elle se releva, s’approchant de moi, elle passa sa main entre les cuisses de Véro en m’embrassant goulûment tout en vérifiant mon état de l’autre main. — Hum mm, tu es toute poisseuse ma Véro, tu as bien aimé te montrer de cette façon et t’offrir aussi vite à un étranger. Quant à toi, tu bandes comme un âne. On peut vous faire confiance…— Étranger, étranger… Ça fait un moment que je l’avais remarqué, ton homme. Aussi longtemps que J-L t’avait dans son collimateur. La seule différence c’est que, moi aussi, je te voulais.— Différence, c’est vrai, car les hommes, moi, ça ne m’attire pas du tout, dit J-L.— Tout est bien, dans le meilleur des mondes, je suis totalement hétéro aussi, répondis-je.— Souvent, quand on faisait l’amour, je disais à J-L, en me caressant le bouton, que j’aimerais bien que ce soit ta main, ma chérie, qui me donne ce petit plus de plaisir. Lui, me répondait qu’il aimerait bien nous voir toute les deux mais, encore plus, que tu le prennes dans ta bouche et dans ta chatte… Ces ...