1. Les voisins de M


    Datte: 22/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, hplusag, couplus, cocus, inconnu, voisins, hépilé, fépilée, amour, vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, échange, init, totalsexe, entrecoup,

    ... phantasmes nous envoyaient plus haut que le septième ciel. J-L demanda si nous voulions boire un café. L’ayant accepté, Véro, toute nue, sans aucune gêne, se chargea de nous le préparer. Elle tournait, virevoltait, de la cuisine au salon. Visiblement, elle appréciait que l’on puisse la découvrir sous toutes ses coutures. M et moi la « dévisagions » face nord, face sud en émettant des compliments sur son corps magnifique. Elle nous servit le café, chacun à notre tour, en faisant le tour de la table. Quand ce fut le mien, je me permis de lui poser la main sur les fesses. Elle se figea sur place, me donnant toutes latitudes pour que je puisse lui caresser le cul aisément. — Il est beau son petit cul à ma Vé, doux, soyeux, bien rebondi. Elle adore qu’on lui caresse de la sorte… Regardez, elle est à l’arrêt, comme un épagneul breton…— Toi, tu as toujours aimé que des mecs me matent ! Plusieurs fois, au bar de la place, il m’a fait asseoir sur le comptoir bien haut et quand il voyait ses copains lorgner entre mes jambes, il me faisait écarter les cuisses. Ça l’excitait tellement que sa bite déformait son pantalon. Les autres aussi, bandaient comme des ânes et moi je mouillais comme une salope !… Le pire, tu te souviens, chéri, c’est le soir où tu m’avais mise sur le « perchoir » et qu’Éric n’a pas pu s’empêcher d’avancer sa main en direction de mes cuisses, quand tu m’as fait m’ouvrir les jambes et qu’il l’a passée sous ma jupe, devant tous les autres, mon cœur s’est accéléré comme ...
    ... jamais et lorsque sa main à touché mon pubis, j’ai tellement joui, vous ne pouvez pas vous imaginer… Bon, vous êtes charmants tous les trois, d’accord j’aime bien cette ma main sur mon popotin mais, me retrouver toute seule à poil, c’est pas juste, il faudrait mettre un peu les pendules à l’heure ! Je lui répondis que sa remarque était tout à fait logique. Le coup d’envoi était donné. J-L n’attendant apparemment que cette verbalisation, cette autorisation implicite, se retourna vers M et commença à lui défaire le chemisier. M lui rendit bouton pour bouton. Véro passa derrière moi, leur répondant, coup pour coup. J-L avait franchi la ligne d’arrivée. Le chemisier de M était au sol, son soutien-gorge ne tarda pas à l’y rejoindre. En quelques secondes, c’était un tas de vêtements qui joncha le sol. Nous étions tous nus, à égalité. Véro s’était emparée de ma verge, me caressant les bourses par la même occasion. Je massais ses seins d’une main, de l’autre je lui caressais le cou. Jetant un coup d’œil à nos conjoints, nous les avons vus, allongés sur canapé, J-L venait de pénétrer M. Il la limait à grands coups de reins tandis qu’elle l’enserrait entre ses cuisses. — Quand je te disais que mon homme avait vraiment envie de ta femme. Depuis hier soir il est chaud bouillant, il n’a pas pu résister au besoin d’être en elle. C’est bien beau de les regarder mais, moi aussi, j’ai envie que tu me prennes.— Ils sont beaux tous les deux. J’adore voir ma Biche faire l’amour. Elle a l’air de ...
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