Huis clos : la renaissance de Laure
Datte: 25/10/2017,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
jeu,
init,
ecriv_c,
... choses. La première, c’est que je ne l’aurais pas fait, la deuxième, pouf ! « Popaul » à plat, et tu y es pour quelque chose !— Oui, je sais, j’avais confiance, délicieux quand même… quant à Popaul à plat comme tu dis… je ne suis pas la seule responsable, eh ! Sauteur ! Nous rions tous les deux. Ah ! Quelle femme ! Si seulement… Mais bon… Toujours installé sur ses cuisses, mes mains la caressent imperceptiblement du bout des doigts, passant sous la chemise, suivant ses courbes. Elle se laisse faire et ferme les yeux. — Tu n’aurais pas violé une presque vierge… murmure-t-elle.— Pardon ? Comment ça, « presque »— J’ai compté, deux fois, avec deux hommes… à mon âge c’est peu !— Ah ! Bon… c’est peut-être normal, vu que… Toujours les yeux fermés et en murmurant elle poursuit : — Le premier, j’avais 16 ans… un copain de lycée, une brute, sale souvenir, après j’avais 20 ans, une rencontre de vacances, un sauvage… il a même essayé de me sodomiser ce con ! Depuis, rideau…— En effet, t’as pas eu de chance… Les filles, ça t’est venu comment ?— Très tôt… vers 13 ans, une attirance puis des attouchements de gamines dans les vestiaires de gymnastique, sous la douche. Plus tard, j’ai compris que j’aimais les filles… les contacts avec les garçons me répugnaient, je les trouvais bêtes, vicieux… Un silence, elle respire lentement, les yeux clos. Sa main prend la mienne, celle qui la caresse, et l’accompagne légèrement. Elle murmure à nouveau : « Je suis bien… voilà, je t’ai tout dit… Mon cœur ...
... est gonflé de tendresse. Ma main caressante s’arrête et se crispe, serrant très fort la sienne. Elle grimace. — Laure… Laure, je t’aime ! Chuchoté-je Elle ouvre les yeux, porte ma main à ses lèvres, l’embrasse doucement. — Tu es fou… tu ne devrais pas… viens ! Soupire-t-elle Elle m’attire et nous roulons sur le côté, face à face, bouche à bouche. D’un doigt, elle me caresse les lèvres et me regarde tendrement. Je perçois comme une immense détresse passant dans ses yeux. Puis, d’un mouvement leste, elle se retourne de l’autre côté, me présente son dos. Sa main m’invite à me plaquer contre elle, mon ventre contre ses fesses. Avec de petits mouvements de hanches, elle cherche à caler mon sexe. Ma main vient naturellement emprisonner un sein dont je sens le téton se durcir entre mes doigts. Dans un souffle elle me dit : « C’est bien, ne bouge plus… on dort comme ça. » Il était temps, épuisés que nous sommes. Ainsi soudés l’un à l’autre, nous nous endormons immédiatement. o-o C’est sans doute la faim qui me réveille. J’ai chaud. Il doit être largement midi passé. Laure dort profondément. La chaleur de ses fesses sur mon ventre rayonne. Cette double rotondité si pleine et si ferme, c’est un régal… Ma main endormie retrouve la sensation du sein qu’elle maintient. Et quel sein ! Quand la Nature se sublime… Je bouge un peu, recalant mon sexe entre ses fesses, je pousse mon ventre recherchant un contact maximum. Voilà… Une pensée me vient et j’en souris… « Popaul » logé entre les fesses ...