Huis clos : la renaissance de Laure
Datte: 25/10/2017,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
jeu,
init,
ecriv_c,
... de ce genre de chambre, c’est qu’à deux, il y a peu de place. L’intimité est incontournable avec le lit comme élément central. On est dedans ou on tourne autour… En l’occurrence avec Ingrid, pardon avec Laure… pour l’heure, c’est un avantage. J’en ai tellement rêvé, d’être seul avec elle… Séchée, les cheveux raides sur ses épaules, elle est maintenant seulement vêtue d’une de mes chemises, trop grande pour elle, qui lui arrive à mi-cuisses, le haut largement déboutonné. Ce qui laisse entrevoir ses seins à chaque mouvement, parfois jusqu’aux tétons. Je me régale et ne me lasse pas de ce spectacle… Nous avons très peu dormi, elle et moi. Quelques coups de fil pour régler des problèmes d’intendance. Le bureau : je n’irai que demain. La réception : petits-déjeuners commandés et ensuite qu’on ne nous dérange pas… Laure aussi se décommande auprès de l’agence, explique l’incident, demande que l’on récupère sa voiture au consulat et qu’on lui procure un rechange. Le silence est retombé. Nous sommes à nouveau en tête-à-tête. Assise au bord du lit, elle me regarde, amusée. — Si j’avais pu imaginer, tu te rends compte… que j’ai failli refuser la mission où je t’ai rencontré ! Tu ne faisais pas partie des « clients classiques ». J’ai accepté pour rendre service… en plus on m’a dit « pour un copain, pour un jeu ! » J’éclate de rire. — J’avais remarqué… et réalisé après… garce ! Elle prend un air ingénu, m’adresse une grimace effrontée. — Moi ? Une garce ? Meu non… Toi, par contre, avec ...
... tes yeux à vouloir me sauter sur-le-champ… tu peux parler ! Je joue l’étonné et rentre enjoué dans cette comédie improvisée. — Pardon ? J’avais « ces yeux là » ? Tu exagères !— Tu les avais… et tu les as encore, cochon ! Minaude-t-elle, j’ai le nez !— Tu pousses… avoue que tu m’as « un peu » provoqué, non ? Comme maintenant, dans cette tenue, c’est un appel au viol ! Elle se redresse, bombe la poitrine, écarte la chemise une seconde pour me montrer un sein en le soulevant d’une main. — Chiche ! T’es pas cap ! Me jette-t-elle comme une gamine et en mimant une fuite.— Ah ! Tu vas voir… et je me lance après elle dans un simulacre de poursuite. Chahut généralisé dans la chambrée… Oreillers qui volent, lit enjambé dans tous les sens, chaise renversée ! Petits cris d’elle comme « Tu ne m’auras pas… », « Bouge pas je t’attrape… » Comme réponse. Bientôt essoufflée, elle se laisse choir sur le lit, sur le dos, les bras en croix. Je la rejoins d’un bond et m’écrase sur elle… Nous sommes bouche à bouche, mêlant nos souffles. Elle sourit, m’attrape les cheveux et me dit, haletante : — Et maintenant, hein ! Et alors, alors… Elle me lâche, rejette sa tête en arrière, écarte les bras, offerte, le défi dans les yeux. — J’attends… je suis à toi… prends-moi… J’éclate de rire. De toutes façons, les batteries pour l’heure, sont à plat… Je m’assois sur ses jambes. Elle est rayonnante, comme savourant une victoire, un pari gagné… Je m’insurge : — Quand je te dis que tu es une garce… Tu sais deux ...