Huis clos : la renaissance de Laure
Datte: 25/10/2017,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
jeu,
init,
ecriv_c,
... nous récupérons, essoufflés. — Laure… tu exagères ! Tu es insatiable… soufflé-je, lui embrassant les cuisses.— De ta faute… tu m’as excitée ! Mais t’as bien fait de venir, je n’osais pas te le demander… plutôt un truc de filles ! La première fois avec un homme… et toi ? Mon pauvre biquet ! Je ris. Le « biquet » ! Et « pauvre » encore ! — Ouais… le biquet il s’est lâché dans les draps, c’est pas glorieux, et le biquet comme tu dis, il en peut plus… Depuis hier au soir ! Laure éclate de rire en s’asseyant, et en me gardant installé sur ses cuisses. — Mauviette ! Et présomptueux ! Cher ami avec deux femmes, il faut assumer… Elle continue de rire ce qui me secoue délicieusement. Je relance la provocation. — Deux salopes nympho, oui… une « bi » et maintenant une lesbienne qui vire sa cuti, quand je dirai ça à mes parents… Feignant la colère, elle s’insurge : — Mais quel salaud tu es ! Dis que tu t’en plains, ose ! Des salopes nymphos ! Tu pousses… Et tu nous baises à l’œil ! Puis doucement, me redressant la tête elle murmure : « Tu as été très bien… dommage que tu ne sois pas une fille ! » Elle soupire, m’attire sur sa poitrine et ajoute : « Tu sais, je voulais te dire… après ce que j’ai fait avec toi, aujourd’hui… » Sa respiration se fait courte, elle hésite, plaquant ma tête entre ses seins. — Mais oui, quoi ? Dis-je, l’encourageant à poursuivre.— Non, rien, plus tard… conclut-elle en soupirant à nouveau. o-o Nous déjeunons en silence dans la chambre. Des gens de son agence ...
... lui apportent de quoi se changer. L’après-midi est maintenant bien avancé et Laure doit s’en aller. Déjà sa vie l’a reprise. Au fil des minutes, elle se métamorphose, Laure laissant place à Ingrid. Une ambiance de rentrée des classes avec les séparations inévitables. « Je t’appelle dès que je peux… On se revoit quand tu veux… » Me dit-elle d’une voix trouble sans me regarder. Je la prends dans mes bras, elle s’y love comme tout à l’heure sous la douche. La sensation est voluptueuse ! Nos corps se reconnaissent, se complètent, s’attirent. Souvent, plus tard, je retrouverai cette complétude, cet émoi, ce « tout » qui formera notre couple dans une union fusionnelle. Dans un murmure, en griffant mes poignées d’amour, elle lâche : « Je voulais te dire… ne m’appelle plus Ingrid, pour toi, je suis Laure… que pour toi ! » Elle hésite, soupire, me griffe à nouveau, et poursuit haletante : « Et aussi… ah ! C’est difficile ! Plus tard, c’est trop tôt… » Un petit rire, un regard malicieux et elle ajoute : « Ca serait bien… si tu perdais un peu de ton petit bidon ! » J’éclate de rire. Non mais ! Un signe sans doute, un indice, qui me fait chaud au cœur. Les femmes qui commencent à avoir des sentiments vous font ce genre de remarque… et vous tricotent un pull ! Ou vous en achètent un, question de génération… Mais pour l’heure, maintenant habillée, apprêtée, je la reconnais à peine. Je revois celle que j’ai rencontrée la première fois. Une jeune femme sûre d’elle, très professionnelle ; rien ...