1. Nadine, la vengeance d'une maman (16)


    Datte: 28/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Maman se dirige vers sa chambre comme une somnambule, se laisse tomber sur son lit les bras en croix, dans un abandon total de sa personne. Elle ne se douche pas, ne se change pas ; en maillot, elle git sur le dos, aussi inerte qu’une poupée… Que voulait-elle prouver en se laissant rôtir de la sorte ? L’a-t-elle fait volontairement, était-ce une simple imprudence ? Avait-elle l’intention de se punir (me punir) ? Je me suis comporté tel un monarque qui exerce son droit de cuissage, et puis je l’ai plantée là avant de revenir à la charge pour lui asséner le coup de grâce. Qu’est-ce qui m’a pris de jouer les amoureux transis ? Maman bafoue la morale, piétine les convenances, ne respecte pas les règles élémentaires de vie en société. Elle a trente-neuf ans (bientôt quarante), elle s’envoie en l’air avec un gamin qui en a tout juste dix-huit… et qui n’est autre que son fils ! Elle est confrontée à un dilemme impossible. D’autres ont perdu la raison pour bien moins que ça. Ce n’est pas en réagissant puérilement, en me montrant égoïste et mesquin que je rétablirai l’équilibre. Une nouvelle turbulence de cette amplitude serait fatale à notre « couple ». J’aurais pu détruire ce fragile édifice en faisant allusion à la nature des sentiments que j’éprouve à son égard. Par ma faute, elle se sent coupable. Si je l’embarrasse, si je l’importune avec mes états d’âme, elle ne voudra plus que je la baise et tout sera fini entre nous. Il faut que je regagne sa confiance, que j’étouffe dans ...
    ... l’œuf ses réticences. J’ai frôlé la catastrophe mais j’ai retenu la leçon : je ne commettrai plus la même erreur. Fort heureusement, le trajet s’est bien mieux achevé qu’il n’avait commencé : je l’ai branlée pendant qu’elle conduisait, et elle a joui sous mes doigts sans se dérober. Mais elle est sur ses gardes, les nerfs à fleur de peau… Il devient urgent d’hydrater Maman, d’apaiser sa peau si fragile, si peu préparée à la morsure du soleil. Elle n’a pas dit un mot depuis que nous sommes rentrés, reste prostrée sur son lit et se contente de fixer le plafond d’un regard éteint. Elle est cramoisie, bouillante de fièvre ; elle frôle l’insolation. Afin de la soulager, je vais chercher la Biafine et lui demande de se mettre à plat ventre. Elle m’obéit docilement, se retourne en gémissant mais elle reste stoïque, souffre sans se plaindre. J’étale une couche épaisse sur son dos, frictionne doucement la peau pour que la crème pénètre bien. Quand le produit est absorbé, je recommence. — Je vais dégrafer ton maillot, Maman… il me gêne trop… — Fais ce que tu veux, Maxime… mais surtout ne me fais pas mal ! Je presse le tube sur ses reins, les oins généreusement, déborde sur les flancs, remonte par les côtés jusqu’à la naissance des seins et je redescends. Maman s’abandonne à mon massage bienveillant, pousse des petits soupirs satisfaits qui m’indiquent qu’elle apprécie le traitement. Je glisse mes pouces sous l’élastique en la tenant par les hanches, et elle soulève imperceptiblement le ...
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