Nadine, la vengeance d'une maman (16)
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... bassin, comme si elle coopérait, comme si elle m’invitait tacitement à la déculotter. Sa nudité n’est pas une nouveauté pour moi, mais le choc est immense. Son cul, épargné par le soleil, est d’une pâleur irréelle, encore accentuée par le contraste saisissant qu’il offre avec le reste de son corps enflammé. Je suis incapable de résister à l’appel de ce fessier charnu, d’une virginale blancheur. Son derrière est si attirant que je l’empoigne à pleine main, presque malgré moi. Je malaxe les tendres fesses élastiques, je m’en mets plein les doigts. — Arrête-toi tout de suite, Maxime ! Ne commence pas à t’exciter pour rien… je ne veux pas… je ne suis pas en état… Nous ferons tout ce que tu veux une autre fois… mais sois gentil mon chéri, laisse-moi… — Je l’adore ton derrière, Maman… Je l’aime tellement, ton cul… C’est ce que je préfère chez toi ! — Et bien dis-donc, tu parles d’un compliment ! On peut dire que tu sais parler aux femmes, mon fils… Un vrai gentleman ! Allez, calme-toi maintenant… Echaudé par mon dérapage matinal, je n’insiste pas et la bascule pour la tartiner de l’autre côté. Elle se laisse manipuler avec l’indolence d’une grosse poupée de chair. Mais une fois qu’elle est sur le dos, c’est presque pire ! Ses gros nichons laiteux me narguent, m’invitent à les pétrir tout autant que son cul quand elle était sur le ventre, et plus bas, il y a le contour préservé du triangle de son pubis, ilot immaculé au milieu d’un océan de chair écarlate. Je manque d’air, je ne ...
... sais plus où donner de la tête ; je bande tellement que mon sexe, à l’étroit dans le maillot, menace de forcer la barrière de l’élastique à tout moment. Maman s’en aperçoit, et elle s’en désole. — Bon-sang, Maxime, tu es encore plus obsédé que je ne le pensais ! Je t’avais pourtant demandé de ne pas t’exciter… tu vois comme tu es ? Mon pauvre chéri … je ne peux quand même pas te laisser comme ça… ce n’est pas bon pour la santé… Allez viens, vilain garçon ! Qu’est-ce qu’elle est gentille ma Maman, qu’est-ce qu’elle me comprend bien ! Elle me pardonne tout, ne veut que mon bonheur. Je m’assieds à côté d’elle, rabats mon maillot pour libérer ma queue, et j’attends ma récompense en frétillant. Maman soupire, me regarde avec cette expression qu’elle me réserve quand je l’ai contrariée ou qu’elle me trouve un peu trop retors. — Tu n’es qu’un profiteur, un sale petit opportuniste… Tu le sais au moins, n’est-ce pas ? confirment ses gros yeux inquisiteurs. Elle se penche vers moi, résignée, ses cheveux me chatouillent le ventre. Les lèvres en avant, elle prend ma queue dans sa bouche, enroule sa langue autour du gland, l’aspire en creusant les joues. Sa tête monte et descend pendant qu’elle me pompe à fond, et j’éjacule en un rien de temps. Comme elle sait que je tiens vraiment à ce qu’elle avale mon sperme, elle ouvre la bouche et me tire la langue, pour me prouver qu’elle a tout avalé, qu’il ne reste rien. C’est un rituel que Maman observe chaque fois qu’elle me suce la queue jusqu’au ...