Nadine, la vengeance d'une maman (16)
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... bout. Après, elle me nettoie avec sa langue, ne s’arrête que lorsque ma queue est toute propre, rose, luisante de salive. Elle s’allonge et je me love contre elle, les yeux fermés. J’ouvre la bouche et je cherche à l’aveugle, comme un nouveau-né affamé, le mamelon de ma mère à ma portée. Quand je l’ai trouvé, je referme les lèvres autour et la tète comme un bébé. Tout en suçant son nichon, je pose ma main sur son sexe. Elle écarte aussitôt les jambes, avec un abandon complice. Mes doigts glissent entre ses cuisses, frôlent son clitoris, baignent dans l’humidité des secrétions que je déclenche. J’accentue la pression pour qu’elle comprenne bien qu’elle est à moi, qu’elle m’appartient, et son corps au diapason me prouve qu’elle l’accepte sans restriction, et qu’elle me donne raison. Elle me démêle les cheveux, avec une tendresse toute maternelle, et j’empaume sa vulve en conquérant. Nous n’étions pas vraiment fâchés, mais nous sommes réconciliés ; mon bonheur est parfait. J’aspire son sein, lui tripote la chatte, je suis bien… Maman s’est endormie, son nichon toujours fourré dans ma bouche, alors que je la tète comme un glouton. A regret, pour ne pas la déranger - afin qu’elle récupère de cette journée riche en émotions - je me lève et sors de la chambre. Elle est épuisée, elle mérite de se reposer. Je n’ai presque rien mangé de la journée, alors je me prépare un plateau-télé et m’installe sur le canapé où je grignote en zappant sans conviction. Deux heures plus tard, dépité ...
... par la pauvreté des programmes proposés, je vais prendre une douche. Je sors sur la terrasse avec un soda, m’allonge dans le transat, m’allume une cigarette. L’air est toujours aussi doux dehors, et la nuit est tombée, mais Maman ne se manifeste toujours pas. La pauvre, elle a besoin de sommeil. Je rêvasse. Je l’imagine, abrutie de soleil, bouillante, fiévreuse, toute nue sur son lit. L’image est si nette, la vision si suggestive que ma queue se réveille. Cette envie permanente que j’ai de la baiser, ce n’est quand même pas normal ; je dois être malade, non ? Mais pour combattre cette maladie, le seul médicament qui agit, c’est le corps de ma mère. C’est à dire que le remède et le poison se confondent. Je dois souffrir d’une sorte d’affection longue-durée non diagnostiquée ! Donc ce n’est pas de ma faute, n’est-ce pas ? Comme je ne veux pas la brusquer – c’est beaucoup trop risqué – je reste sur la terrasse, le cul entre deux chaises, incapable de me décider. Mais plus le temps passe, et plus mon impatience à raison de ma prudence. Je rentre dans sa chambre sur la pointe des pieds. Il n’y a a pas si longtemps, c’est tremblant d’une excitation malsaine que je venais la rejoindre pour commettre mon forfait. Je me sentais coupable, j’agissais dans son dos. Tout a changé depuis, j’ai fait de nombreux progrès… mais je suis pourtant toujours aussi inquiet, aussi troublé que la première fois que je me suis approché de son lit. Elle dort sur le côté, les genoux repliés sur le ventre. ...