1. Nadine, la vengeance d'une maman (16)


    Datte: 28/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... yxqyaazg Dans la position qu’elle occupe, ses fesses s’épanouissent, scandaleuses d’abondance. Profusion de chair offerte à ma concupiscence. Je suis aussi ému que la première fois que je les ai vues par accident. Maman paraît si vulnérable dans son sommeil. Je contemple la croupe déployée, les lèvres entrouvertes, la fente qui baille. Je rampe sur le lit, m’approche et glisse mon visage entre ses cuisses bouillantes pour venir accoupler ma bouche à son sexe. Elle gigote, remue comme si elle cherchait à se débarrasser de quelque chose qui la dérange dans son sommeil, mais elle ne se réveille pas tout de suite. Je lèche du bout de la langue la tendre muqueuse, et je l’enfonce dans son vagin, tout en pinçant son clitoris entre le pouce et l’index. Comme elle ne s’est pas douchée, elle a un gout salé. Sa chatte est délicieuse. J’ai l’impression de déguster un violet, un de ces coquillages très iodés qui vous emportent la bouche et vous embaume les narines de leur parfum marin. C’est si bon, si stimulant de tirer Maman du sommeil en la dévorant. — Bon-sang, ...
    ... Maxime ! Tu es écœurant… Je ne me suis même pas lavée… je suis sale, enfin ! — Laisse-toi faire Maman, profite bien… Je me régale ! Je me déchaine, la bouffe voracement. J’aspire, lèche, tète la chair sensible et réactive, en produisant des bruits de succion particulièrement obscènes et excitants. Son corps se tend, son bassin se soulève, et elle donne de violents coups de reins pour venir au contact, pour frotter autant qu’elle peut sa chatte sur ma bouche. Elle pousse un cri bestial, mon visage emprisonné dans l’étau de ses cuisses, et la tension retombe d’un coup. Elle a joui, c’est fini. Nous ne parlons pas, ne bougeons pas, trop hébétés l’un et l’autre pour admettre la puissance de ce qui vient de se passer. Nous reprenons nos esprits dans le noir, retrouvons notre souffle, et elle se rendort (ou fait semblant). Je ne quitte pas ma place, ma tête toujours entre ses cuisses, ma bouche sur son sexe, mon nez dans ses poils, une main sur son ventre un peu rond et brulant. Je m’endors dans son odeur, avec son gout sur la langue, sa chaleur sous ma main… 
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