1. L'amant (2) Petit diable !


    Datte: 04/02/2021, Catégories: Première fois

    ... ébullition : en perverse accomplie, sous son bureau, à l’abri du regard d’Antoine, Agnès avait glissé ses doigts sous sa culotte et se touchait le clitoris. Elle se donnait du plaisir à la barbe du jeune homme, qui ne se rendit compte de rien. Ce dernier, par ailleurs, commençait à se lasser de se branler devant sa patronne. Il avait envie de quelque chose de plus fort : — Je préférerais que vous me le fassiez vous-même, dit-il. — Si ça peut te faire plaisir…Elle remit sa robe en place avant de se lever, puis elle fit le tour de son bureau. — Retourne-toi, lui ordonna-t-elle une fois qu’elle fut face à lui… Allez, tourne-moi le dos !Quand il se fut retourné, offrant ses fesses nues, elle se colla à lui et se saisit de sa verge.Antoine, ne voyant plus sa partenaire, était tout à l’écoute de son corps lorsqu’il sentit son membre saisi par une main énergique. Aussitôt après, cette main le masturbait d’un geste ample et avec une lenteur calculée. Il sentit en même temps le corps d’Agnès collé à lui. Ajouté à la douce masturbation qu’elle lui prodiguait, le contact froufroutant de la robe dans son dos attisa encore un peu plus ses sens.Agnès n’était pas moins excitée. Tout contre lui, le nez dans son cou, elle percevait son parfum d’homme, une senteur musquée de laquelle elle s’enivra jusqu’à en fermer les yeux. Bouleversée, elle réagit en intensifiant brusquement sa masturbation. — Allez-y doucement, se plaignit Antoine… — Excuse-moi, petit diable, fit-elle en ralentissant le ...
    ... mouvement de sa main. Mais tu m’avais encore troublée !Ces paroles durent encourager Antoine, car elle se sentit soudain saisie par-derrière. Il avait en fait passé une main derrière lui, et à tâtons, était parvenu à la plaquer sur sa fesse. Mais pas question de le laisser faire, lui dicta sa raison, alors qu’elle pensait tout le contraire. Elle joua donc l’indignée : — Qui vous a autorisé à me peloter les fesses ? Enlevez cette main immédiatement ! — Je vous demande pardon, fit-il en retirant la main. Je pensais… — C’est moi la patronne, ici. C’est donc moi qui décide de ce que vous pouvez faire ou non, fit-elle, forçant le trait au-delà du crédible ! Entendu ? — Je suis désolé, Agnès. — Madame !… Appelez-moi madame quand je vous masturbe. Ce sera tellement plus excitant !Sur ces mots elle reprit une masturbation si énergique que sa victime poussa un cri. — Doucement, madame !Mais elle n’avait aucune envie de ralentir et décida qu’elle continuerait ainsi jusqu’à ce qu’il atteigne l’orgasme. Ce ne fut pas long, moins d’une minute plus tard il éjaculait dans un cri de bête fauve. — Chut ! Tu vas alerter toute l’usine, fit-elle en riant !Quatrième jour après les vacances, elle craque à nouveau !Agnès avait naïvement espéré que les masturbations qu’elle lui prodiguait régulièrement suffiraient à satisfaire ses envies d’Antoine. La seule fois qu’elle s’était donnée à lui, un jour de folie, elle en avait beaucoup trop souffert par la suite. Elle ne souhaitait pas revivre ça.Mais en ...
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