Pulsion passion
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
f,
fh,
couple,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
prost,
parking,
caférestau,
voiture,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
préservati,
pénétratio,
jouet,
sm,
fouetfesse,
init,
portrait,
couple+h,
fsoumisah,
... reviendrez nous prendre plus tard. La portière s’ouvre et les deux hommes sortent. Je suis soudain paniquée à l’idée de me retrouver pratiquement nue au milieu de la foule. Je peste mentalement contre ces deux salauds qui déjà disparaissent dans la foule, laissant la porte de la voiture ouverte. — À tout de suite, dit le chauffeur, me faisant ainsi comprendre que je dois descendre. Je cherche mon pardessus, mais je l’aperçois au loin, sur le bras de mon mari. Je n’ai que le choix de sortir dans la tenue où je me trouve. Étonnamment, personne ne semble me prêter attention. Nous sommes dans le quartier le plus chaud de la ville. Bien d’autres filles arpentent le trottoir dans des tenues provocantes. Mon malaise est pourtant à son paroxysme. En tirant sur ma jupe, je trottine pour rattraper Jim et Alex. Mes chaussures trop hautes tordent mes chevilles. Malgré mes bras en croix devant ma poitrine, mes seins dodelinent ridiculement sous ma blouse. J’ai honte. Je me sens non seulement dénudée, mais totalement gourde. Un homme tente de m’interpeller, sans doute pour me faire des propositions. Je m’en défais en l’ignorant. Je rejoins les hommes au moment où ils pénètrent dans le restaurant. L’endroit est sélect et la décoration est de bon goût. Jim semble être un habitué de cet endroit. Le portier l’appelle par son nom en le saluant et coule vers moi un regard qui en dit long.« Combien de putains Jim a-t-il amenées ici jusqu’à ce jour ? » Ma gorge se noue. Je suis furieuse. Tout ...
... simplement jalouse. Nous sommes conduits vers notre table par une charmante hôtesse. Elle porte une robe longue, fendue jusqu’aux hanches. Je me sens de plus en plus godiche, vêtue comme une putain de trottoir. Le restaurant est presque plein, essentiellement occupé par des couples. La plupart des hommes sont de bonne mise mais dépassent presque tous la cinquantaine. Les filles sont toutes belles et parfois très jeunes. Sans aucun doute toutes des professionnelles. Un vieux pianiste voyeur joue un jazz mélancolique en scrutant les moindres gestes des couples illicites qui sont à la portée de sa vue. Au moment de s’asseoir, Alex tente un geste d’affection, mais je me dégage d’un geste excédé. Ma nervosité provient sans doute du fait que je me retrouve, malgré moi, dans un milieu qui m’est hostile. Je suis certes excitée mais, par sa présence, mon mari m’empêche d’accepter le rôle que je devrais jouer. Confusément ballottée entre un rôle de prostituée que l’on cherche à m’imposer et celui d’épouse honnête que je suis. Je me réfugie momentanément derrière la carte des mets. Je tente de calmer cette mauvaise humeur qui me submerge en parcourant les différents plats qui nous sont proposés. J’opte pour une omelette aux morilles sans prendre d’entrée. Les hommes se commandent un repas complet. Ma mauvaise humeur ne fait qu’augmenter en surprenant les regards de convoitise qu’ils jettent en direction de la serveuse. Et, pour ne rien arranger, Jim semble s’en amuser. — Ma chère Jane, me ...