Double méprise...
Datte: 16/02/2021,
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... train de lui suçoter l’anneau brun et serré. Et Pierre y avait plongé sa langue, la dardant le plus loin possible, avec une certaine délectation. Et tant qu’il était occupé à découvrir l’attrait des intimités féminines, Pierre pensait moins à son propre plaisir, à son excitation. Pour autant, plusieurs fois, il avait été secoué de longs spasmes annonciateurs de la montée de sa jouissance et avec un savant rythme adapté, Suzon avait su calmer et reporter à plus tard son explosion. Elle-même, sous les coups de langue habiles que lui distillait Pierre, ahanait son plaisir. Mais Pierre, presque rassasié, n’avait plus qu’une idée en tête, celle de pénétrer Suzon, comme il l’avait fait avec Catherine. Pourtant, sa timidité et malgré la situation, il n’osait encore rien demander ou quémander. Or, il avait découvert à ce propos que les femmes doivent comprendre certains signes corporels des hommes, car presque aussitôt, le couple changeait de position et Suzon venait caler ses pieds le long de ses flancs pour s’empaler sur son sexe raide et excité, à la limite de la jouissance. Mais contre toute attente de Pierre, elle s’était emparée de son sexe pour mieux le guider en elle et après avoir subrepticement effleuré son intimité largement mouillée et avoir lubrifié son gland au passage, elle l’avait dirigé vers ses fesses, le positionnant à l’entrée du petit trou. Pierre, au début, n’avait pas fait réellement attention. Ce n’est que quelques secondes plus tard, se sentant entouré par ...
... un anneau serré, mais coulissant à merveille, qu’il s’était réellement rendu compte de la situation. Suzon, l’amie de la famille qui le connaissait depuis qu’il était bébé, qui l’avait vu grandir, était là, à le dévoyer et lui faisait pratiquer un acte qu’il avait toujours pensé sale et dégradant, interdit. Et à l’évocation de cette interdiction qu’ils bravaient tous les deux, assortie du va-et-vient qu’elle infligeait à son sexe en lui offrant le fourreau resserré de son anus comme exutoire à sa virilité, Pierre n’avait pas tenu le choc ni la distance. En un seul et unique grand jet, il s’était largement répandu dans ses fesses, alors que dans sa tête une gerbe multicolore éclatait et que son corps se tendait formant une sorte d’arc-boutant avant de retomber, épuisé, lessivé, hors d’haleine. Au matin, il s’était réveillé dans son lit. Catherine était là, à son habitude. Elle était entrée dans la chambre, avait ouvert les volets, laissant la fenêtre grande ouverte. Puis elle s’était approchée du lit, mais elle ne lui avait que déposé un gentil baiser sur le front et lui avait rappelé que l’heure du lever avait sonné avant de disparaître. Pierre était resté interloqué par cette soudaine froideur. Mais plus tard, dans la matinée, Catherine lui avait confirmé leur rendez-vous au lavoir. Et Pierre avait retrouvé le sourire vis-à-vis d’elle. Un sourire qui devait vite être effacé, car Suzon lui remémorait que ce soir, ses parents venaient le chercher. Voilà, les vacances étaient ...