1. Double méprise...


    Datte: 16/02/2021, Catégories: fh, ff, hh, fbi, hbi, fplusag, jeunes, religion, vacances, forêt, collection, amour, volupté, cérébral, revede, noculotte, Transexuels Oral 69, fsodo, hsodo, init,

    ... d’être découvert ou que ladite Suzon n’aille tout raconter à ses parents. Mais son éducation lui faisait envisager la perspective d’une longue leçon de morale maternelle ou paternelle qui l’aurait mis dans l’embarras et l’aurait certainement exaspéré. Pourtant, depuis que Catherine lui avait fait découvrir le plaisir de la chair, il ne regardait plus une femme, ni une fille avec un simple regard d’envie souvent étouffé. Il posait sur elles, un regard de jeune mâle, prêt à fondre sur la moindre proie. Il ne les contemplait plus en garçonnet. Il jaugeait leurs potentialités féminines à satisfaire ses besoins primaires qu’il avait du mal à réfréner. Pourtant, il n’avait plus qu’une seule et véritable trouille, qui dressait encore quelques barrières inhibitrices, celle que son regard le trahisse. Habitué de la maison, il faisait presque partie du paysage, des meubles. Chacun prenait ses aises et en ces périodes estivales, les tenues s’allégeaient, les décolletés s’approfondissaient, les jupes marquaient les rondeurs des cuisses et des fesses. Pierre, incidemment, avait découvert lors d’un repas de midi, que Suzon qui occupait la place en face de lui, ne portait rien sous sa robe légère. C’était même bien la première fois que ces yeux pouvaient contempler sa poitrine généreuse. Voilée d’un simple tissu opalescent, celui-ci montrait plus qu’il ne cachait les globes charnus de ses seins un peu lourds et légèrement affaissés, les mamelons larges et les fines pointes des tétons. Ces ...
    ... yeux, à cette découverte, avaient pris la fixité obsédante de la découverte soudaine du charnel voluptueux d’un corps qu’il croyait sans attraits jusqu’alors. Mais les rapports avec Catherine lui avaient ouvert de nouvelles perspectives sur l’enveloppe charnelle des femmes et il cherchait à percer le mystère des comparatifs avec les autres et Catherine. Plus tard, au cours du repas, il avait dû ramasser sa serviette qui avait glissé à terre. En se penchant pour la ramasser, il avait jeté un œil intrigué vers les cuisses nues de Suzon. La robe largement remontée sur elle pour éviter de la froisser, elle exposait largement son entrecuisse. En un regard rapide, Pierre avait découvert d’elle, l’ombre de sa toison pubienne claire qu’aucun tissu ne semblait enfermer. Par deux fois, il avait fait tomber sa serviette et son manège avait été compris. Lors de sa dernière « descente », Suzon en riant, avait écarté ses cuisses pour lui permettre de la reluquer sans autres commentaires qu’un regard malicieux et étincelant de compréhension à l’égard de ce garçon qu’elle hébergeait. Plus tard, il était arrivé au rendez-vous avec Catherine, le sexe déjà enflammé par la vision du dessous de table. Un sexe très bombé, charnu, légèrement duveteux dont les lèvres étaient restées closes, mais dessinaient une frange gracile et ondoyante. Et tandis qu’il faisait l’amour à Catherine, son esprit avait soudain été envahi par cette vision éphémère et excitante, ce qui avait eu pour effet de lui faire ...
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