L'auto-stoppeuse
Datte: 19/02/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
hotel,
autostop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
J’ai décroché un emploi : représentant pharmaceutique en Languedoc-Roussillon. Le lundi matin, je quitte la banlieue parisienne par le train, pour ne revenir que le vendredi soir. La semaine, je parcours des kilomètres en voiture pour visiter les médecins en faisant semblant de m’extasier devant de nouvelles molécules. Le salaire est plutôt intéressant alors je ne me plains pas. Ma véritable passion, c’est la photographie. J’ai bien essayé d’en vivre, mais j’ai vite déchanté. Je continue à pratiquer, en amateur. Sur la route, à l’affût d’un cliché, j’ai toujours mon appareil photo avec moi. Ce soir-là, le dernier rendez-vous de la journée vite expédié, je regagne mon véhicule, desserre ma cravate, ôte ma veste et démarre pour rejoindre une route de campagne sinueuse menant au petit hôtel que j’ai choisi sur internet. Il fait encore une chaleur à crever. Je roule doucement, depuis vingt minutes environ, profitant de la climatisation, d’un CD de jazz et des dernières lueurs du soleil qui sublime le paysage vallonné avant de céder place à la nuit. Soudain, noyée dans l’ombre, je distingue une auto-stoppeuse. Drôle d’endroit pour lever le pouce, on est à 10 km de la ville la plus proche. Je passe à sa hauteur et m’arrête sur le bas-côté. Elle approche en courant. Alléchante vision : c’est une jeune femme, gironde, portant une robe d’été noire, moulante, et très courte. Des seins épanouis rebondissent sous le tissu. — Où allez-vous comme ça, mademoiselle ? Ce n’est pas le ...
... meilleur endroit pour faire du stop. C’est même dangereux, on vous voit à peine. Penchée à la vitre, côté passager, elle me jauge rapidement, mon âge, le costard, ça doit la rassurer. Je remarque de suite, après son décolleté affriolant, ses yeux mouillés de larmes. — Bonjour, heu… Oui je sais, mais je viens de m’engueuler avec mon petit copain et il m’a laissée en plan sur la route.— Il ne faut pas rester là, montez. Quand elle se glisse sur le siège, je ne peux m’empêcher de loucher sur ses cuisses potelées. — Je pensais qu’il allait repasser me chercher, mais ça fait plus d’une heure que je poirote là. Et je n’ai pas croisé une seule voiture. Brune, la peau mate, de grands yeux bleus, une bouche pleine dessinée de rouge. Ses longs cheveux noirs sont ramenés en queue de cheval. Voilà le visage de cette naufragée de la route. — Je peux pas l’appeler, il m’a jetée sans même me laisser le temps de récupérer mon sac à main. Je n’ai plus rien, même pas un euro, une vraie clocharde. C’est vraiment un salopard, je le déteste ! Elle est sur les nerfs. Sa voix tremble tout autant que ses mains. Sa robe est tellement courte que je devine l’arrondi généreux d’une fesse. — Et vous alliez où ? demandé-je.— On rentrait à Lyon. On habite là-bas.— Essayez de l’appeler si vous voulez. Je lui tends mon téléphone, qu’elle me rend après deux tentatives. — Messagerie… Elle se met à pleurer. Nonchalamment, je pose ma main sur sa cuisse, en essayant de la rassurer. — Écoutez, je ne peux pas vous laissez ...