L'auto-stoppeuse
Datte: 19/02/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
hotel,
autostop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
... genou touche le sien. Elle dit que c’est dommage d’avoir arrêté la photo, que c’est bien de vivre de sa passion. Je lui propose de l’héberger dans ma chambre d’hôtel cette nuit, pour l’aider… Demain, elle y verra plus clair, je pourrais la déposer quelque part. La mettre dans un train. — C’est très gentil à toi de m’aider. ooo000ooo On quitte le restaurant. Elle ricane, trouve que je ressemble à son ex, titube légèrement. Je passe le bras autour de sa taille fine, qui soutient des hanches dessinées et des fesses cambrées. Je sens sa poitrine écrasée sur mon torse, ça me fait bander. Le hall du motel, éclairé comme un soir de spectacle, est complètement désert, si ce n’est le réceptionniste derrière son comptoir. Un jeune type, très grand, avec une allure de rugbyman. Il sort de sa torpeur en remarquant Déborah dans sa petite robe d’été, et devient très avenant, en un large sourire, il annonce, pendant que je remplis la fiche de renseignement, que nous bénéficierons de la meilleure chambre de l’établissement : la 114, au rez-de-chaussée. — Dis donc ! Il est pas mal le type à l’accueil. De temps en temps, il doit s’occuper de ses clientes, glousse Déborah, en déambulant dans le long couloir à la moquette multicolore menant à notre porte, qui ouvre sur une chambre coquette, fraîchement redécorée, où trônent deux grands lits doubles. Je jette ma valise sur un des lits, retire mes chaussures et déboutonne ma chemise. — Si t’as pas besoin de la salle de bains, je file prendre une ...
... douche. J’en rêve depuis des heures, déclare-t-elle.— Honneur aux dames. L’unique et large fenêtre de la chambre donne sur un petit parc, illuminé par la pleine lune, où sont dressées quelques tables de camping au milieu des arbres. J’allume la télé, choisis une chaîne musicale. Dans le frigo de poche, rempli de mignonnettes, je trouve deux petites bouteilles de champagne pour mon hôte, un whisky pour moi. À travers la cloison, on discerne le bourdonnement humide de la douche, elle est nue, à quelques mètres de moi. Je roule un joint. La fumée s’envole par la fenêtre ouverte quand elle sort de la salle de bains. — Hé… Égoïste, t’aurais pu m’attendre pour fumer. Elle s’avance, vêtue d’un peignoir blanc, les cheveux mouillés. — Tiens, je t’ai trouvé du champagne.— C’est trop gentil. Elle se verse un verre, avachie dans le fauteuil Club en cuir marron qui s’accorde bien avec la peinture crème des murs. Je lui tends le pétard et à mon tour gagne la salle d’eau. Son soutien-gorge sèche, pendu prés du lavabo. 95F indique l’étiquette, je pensais que la plus grande taille de bonnet ne dépassait pas le E. L’eau, presque brûlante, me fait frissonner. Je rejoins la chambre torse nu, j’ai enfilé un caleçon et porte une serviette autour de la taille. — Tu m’avais caché ce corps d’athlète ! lance Déborah en levant les yeux vers moi. Le pétard entre les doigts, assise en tailleur sur son lit. Largement entrebâillé, son peignoir révèle la marque blanche laissée par un haut de maillot de bain. ...