1. L'auto-stoppeuse


    Datte: 19/02/2021, Catégories: fhh, extracon, inconnu, grossexe, grosseins, hotel, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, confession, occasion,

    ... Elle feuillette le magazine télé offert par l’hôtel. La lampe près du lit l’éclaire de côté et la met en valeur. Je sors mon reflex de la valise. — Déborah, ça te dirait que je prenne quelques clichés de toi ?— Oui, avec plaisir, j’en ai pas de jolies, j’ai que des souvenirs de soirées avec les yeux rouges. Immédiatement elle se lève et, debout sur le lit, réajuste ses cheveux. Je n’ai pas besoin de la guider. De face, de dos, sur le côté, elle enchaîne les poses langoureuses de pin-up des années 50. Clic, clic, clic. Elle se cambre, fait ressortir ses fesses, ses seins. Ça commence à s’agiter dans mon caleçon. La séance dure, je remplis plusieurs cartes mémoires. — C’est bien comme ça ? demande-t-elle, un doigt sur les lèvres.— Pas mal, mais sans te commander tu devrais retirer ce peignoir, il n’est pas très photogénique. On peut faire du nu artistique si ça te tente. Je dis ça avec un air détaché, comme si c’était tout à fait naturel. — J’ai jamais fait ça, ça me gêne. On se connaît à peine. Je n’insiste pas et continue à mitrailler en tournant autour d’elle. Mon exaltation décuple. Je m’approche. Prends l’excuse de corriger sa position pour toucher son épaule, palper son bras, effleurer son sein comme par mégarde. Peu à peu, je la sens plus à l’aise, elle baisse la garde. La sortie de bain s’entrouvre d’avantage. Presque collé à elle, je sens l’odeur du savon sur sa peau. Mes lèvres se tendent vers les siennes. J’envahis sa bouche et elle se laisse faire. Il ne s’agit ...
    ... pas d’un long baisé romantique, ce n’est pas ce dont j’ai envie. Sans pudeur, je libère et reluque son opulente poitrine, objet de mon fantasme depuis des heures. Elle tombe légèrement sur le côté, emportée par les lois de la gravité. La peau, tendue à l’extrême par le poids, est coloriée de petites veines bleues qui courent en tous sens et rejoignent les aréoles larges et sombres. Ses tétons sont dressés. J’ai à peine le temps de me flatter l’œil que déjà elle remonte le peignoir, descend du lit, s’adosse sur la porte vitrée du placard de l’entrée et bombe le torse, reprenant la pose et amplifiant encore la grosseur de sa poitrine. — Ça suffit monsieur, ça ne se fait pas de regarder les seins de ses invitées, ironise-t-elle, cherchant à détendre l’atmosphère pesante. J’ai du mal à la cerner, elle m’aguiche pour ensuite me repousser. La séance photo redémarre. Son regard change, elle fixe l’objectif différemment. Les poses sont plus suggestives. Elle en montre de plus en plus. La pression monte. Nouvelle tentative. Sur mes conseils, elle vient s’asseoir sur le petit canapé, près de la fenêtre, là où la lumière est meilleure. Je la fait pivoter légèrement en posant ma main sur son flanc, assez haut pour sentir la naissance d’un sein. Mes doigts s’attardent, notre baiser reprend là où on l’avait laissé. Je soupèse ses seins, sa langue tourne plus vite, ses tétons pointent, je les pince à travers le tissu. Cette petite cérémonie dure un moment. J’ai le cerveau et le bas-ventre en ...
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