1. L'auto-stoppeuse


    Datte: 19/02/2021, Catégories: fhh, extracon, inconnu, grossexe, grosseins, hotel, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, confession, occasion,

    ... ébullition. Ce n’est presque plus du plaisir, ça me fait mal. Cédant à mon instinct, je ne me contrôle plus. Je sors ma queue et lui impose de me sucer en la tenant par les épaules. Déborah refuse, tourne la tête. — Non, c’est pas bien, on se connaît pas. À peine a-t-elle dit ça, et au moment où je me fais une raison, prêt à remonter mon caleçon et, tant pis, à laisser tomber, elle s’empare de ma queue et l’introduit entre ses lèvres. Délicieuse sensation, s’aidant de la main elle la fait coulisser profondément. Son désir augmente, je le sens à la façon dont elle accélère le mouvement. C’est de son corps dont j’ai désormais envie. Je la lève, me place derrière elle, et fais glisser le peignoir au sol. Elle essaye, sans conviction, de la retenir. Ses hanches marquées et ses fesses rebondies, on dirait un Man-Ray. J’agrippe ses gros seins, ils sont lourds, chauds, j’en jauge la consistance un peu molle, puis les relâche doucement. L’ambiance est devenue électrique dans la chambre. Finies les photos, mon appareil gît sur la moquette. Tout à coup, je perçois une ombre mouvante dans le jardin, une ombre que je reconnais rapidement, c’est le réceptionniste, le grand rugbyman. Dans sa main, une petite lampe torche ne tarde pas à s’éteindre. Il donne l’impression d’être occupé à ranger des parasols, mais à travers la fenêtre aux rideaux restés ouverts, il est pile dans l’axe pour se rincer l’œil. D’autant qu’à ce moment précis, sans que je la guide, Déborah décide de passer à la ...
    ... vitesse supérieure. Le choc ! Elle se rassoit face à mon objectif et écarte exagérément les cuisses, dévoilant son sexe intégralement épilé. Dehors l’ombre, immobile, ne cherche plus à faire semblant. D’une main elle se caresse la poitrine, l’autre descend vers son bas-ventre. Devant moi et, sans le savoir, sous l’œil concupiscent du voyeur, elle se masturbe. Les battements de mon cœur accélèrent et résonnent dans mes tempes. Désormais débarrassée de toute retenue, elle s’offre toute entière. — Ça te plaît comme ça ? souffle-t-elle. Image indécente. — Regarde-moi et branle-toi ! T’as une bonne queue, ça me plaît. Cette réplique crue contraste avec le ton timide de sa voix. J’obéis. Deux doigts enserrent son clitoris, elle tire dessus, puis écarte sa vulve gonflée, brillante de cyprine, pour mieux m’exciter. Ses mamelles énormes qui s’étalent sur son buste. Je veux les baiser directement, sans préliminaire, sans douceur. Debout entre ses jambes, j’attrape les deux globes, et les défonce en les serrant sur ma queue qui disparaît totalement sous leur volume. Déborah gémit, m’encourage à continuer. Je déloge mon sexe, colle mon gland près de sa bouche, et m’y engouffre quand elle écarte à nouveau les lèvres. Pendant qu’elle me pompe, je malaxe cette poitrine qui me rend fou. Puis reviens frotter ma bite à tour de rôle sur chaque téton. Elle continue de se masturber en gémissant. J’entends le clapotis provoqué par ses doigts pénétrant le vagin trempé. Dehors, l’ombre s’est rapprochée. ...
«12...456...10»