1. L'auto-stoppeuse


    Datte: 19/02/2021, Catégories: fhh, extracon, inconnu, grossexe, grosseins, hotel, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, confession, occasion,

    ... temps de lui dire que nous n’étions pas en couple, simplement des amis. Déborah, toujours nue, s’approche de moi, m’enlace et m’embrasse fougueusement. — C’est pas ce que tu crois, bébé, je vais tout t’expliquer ! Elle continue sur le ton de l’humour. Sa langue tourbillonne autour de la mienne, serrée encore plus contre moi, son bas-ventre ondule, sa respiration s’accélère. Le géant est à côté de nous, un peu gauche, il regarde sans savoir comment réagir. Partir, participer, il semble hésiter, ou alors il attend le feu vert. Déborah déboutonne ma braguette, fait jaillir mon sexe, qu’elle prend dans sa main et continue avec moi ce qu’elle avait commencé avec lui. Celui-ci vient lui passer la main dans les cheveux, pour quémander un peu de plaisir. Elle semble l’ignorer un instant, puis finit par lui caresser l’entrejambe à travers le pantalon. — J’aimerais bien que mon salaud de mec me voie en ce moment, avec ces deux beaux mecs bien montés, il serait fou de rage, jubile-t-elle. David décide de prendre un peu l’air et se débarrasse de son jean. Déborah attrape l’énorme engin de sa main libre pour nous branler simultanément pendant quelques minutes, le regard fixé sur nos parties génitales, avec, je dois l’admettre, une fascination plus marquée pour celles de mon acolyte. Quelques préliminaires plus tard, nous rejoignons l’effrontée dans son entière nudité. Plusieurs fois, je la vois hésiter à aller plus loin, chercher à mettre un terme à ce trio. La peur ou la morale la font ...
    ... raisonner. Voulant se limiter à la fellation, elle repousse plusieurs fois nos assauts. Puis, graduellement, elle laisse nos mains explorer son corps, et abandonnant toute résistance, accepte de se rendre à l’ennemi. ooo000ooo Mon excitation grimpe pour atteindre des sommets quand je la soulève et l’allonge sur le lit. À califourchon sur son buste, j’entame une branlette espagnole. David vient placer son visage entre les cuisses de la coquine, qui les écarte et les relève en se tenant sous les genoux, afin de s’offrir entièrement. Elle commente à voix haute ce que le géant lui fait subir, et le dirige d’un ton autoritaire. Quand je me retourne pour voir se qui se passe dans mon dos, David lui aspire littéralement la vulve, il lui a aussi glissé trois doigts dans l’anus. Elle semble apprécier car elle gémit de plus en plus fort. Le géant me fait signe de la retourner pour l’installer à quatre pattes sur le lit. Dans cette position, ses lourdes mamelles pendent à la verticale, et je ne peux m’empêcher de les claquer doucement, pour les voir balancer, pendant que je lui roule une pelle. Elle a les bras tendus, le dos bien cambré, son cul généreux pointe vers le ciel en une position affriolante pour qui se place derrière elle. Comme David par exemple, qui lui a renfilé ses doigts dans le petit trou. Il lui redresse la tête en empoignant sa longue chevelure. Il sort de ses fesses, admire l’anus dilaté et crache à l’intérieur. Loin d’être choquée, Déborah le somme de continuer à lui ...
«12...678...»