L'auto-stoppeuse
Datte: 19/02/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
grossexe,
grosseins,
hotel,
autostop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
... À aucun moment Déborah ne cherchera à tirer les rideaux. Peut-être cherche-t-elle à s’exhiber. Ou sûrement n’a-t-elle pas remarqué la présence extérieure. J’attrape ses cuisses, les ouvre largement, et la fais basculer sur le canapé afin de la pénétrer en missionnaire. — Va chercher tes capotes, murmure-t-elle.— Quelles capotes ? J’en ai pas.— Merde, c’est trop con, mais je refuse de le faire sans rien. C’est trop risqué. Pas grave, éjacule sur mes seins, j’en ai envie. Elle dit ça d’un air déçu, mais d’une voix toujours pleine de désirs. Déjà au bord de l’explosion, je la soulève et la place sur le bord du canapé, là où la lumière est la plus vive, face à la fenêtre. Je veux la dévoiler, l’offrir au voyeur. Le buste droit porté vers l’avant, elle pétrit ses nichons, continue à se branler. J’envoie tout mon foutre, visant les mamelons. Finissant de jouir, avec mon gland j’étale le sperme sur sa peau. — Hum, Dommage pour les préservatifs, mais c’était très bon quand même, lance-t-elle. Tu ne vas pas t’en tirer comme ça, Pierre. Elle glisse un baiser sur mes lèvres et gagne la salle de bains, d’où elle ressort rapidement.— Je vais à l’accueil trouver des préservatifs, on doit leur en demander régulièrement. Attends-moi, je serai pas longue. La porte claque. En attendant qu’elle revienne, je glisse sous les draps, attrape la télécommande du poste TV, pour choisir une chaîne d’informations. Il est 23 h 30. ooo000ooo 02 h 47, affiche le réveil de la chambre, quand je me réveille ...
... en sursaut. J’ai dormi presque trois heures. J’en arrive à me demander, l’esprit encore affaibli, si cette fille au corps de déesse ne sort pas de mon imagination. Le désordre dans la chambre et les bouteilles vides prouvent le contraire. Cependant, je suis seul. Déborah n’est pas revenue. Rhabillé, je gagne le hall de l’hôtel. Personne à l’accueil. Je me dirige vers le bar : fermé. Un rayon de lumière filtre au bas d’une porte marquée « entrée interdite ». J’approche, tourne la poignée, et entrouvre avec appréhension. C’est une pièce de repos pour le personnel, au milieu d’un capharnaüm de cartons et de prospectus, une ampoule au plafond projette une lumière crue sur un lit de camp. Sous cette lumière : Déborah, à genoux, nue, sa robe d’été, qu’elle a décidément du mal à garder, jetée au sol. Le réceptionniste debout devant elle, pantalon aux chevilles, en train de se faire sucer, il enfourne à peine le quart de son impressionnante queue dans la bouche de la belle. La pièce est emplie de bruits de succion et de murmures. C’est elle, la première, qui me remarque. Elle sursaute légèrement et lâche l’engin d’un seul coup. Comme un voleur à l’étalage abandonnant son larcin. Elle se relève. David m’aperçoit à son tour et offre un sourire embarrassé. — Pierre, reste pas caché, je te présente David, un copain, plaisante Déborah.— Je pouvais toujours attendre ton retour… Je dis ça d’un air détaché qui rassure David. Il a tout de même remonté son pantalon. J’imagine qu’elle a eu le ...