Apprentissage - Histoires de Sexe

Apprentissage

... chemin. Elle pousse d’elle-même, pleure de honte, de douleur, de plaisir… Philippe s’enfonce centimètre après centimètre en elle. Elle pousse encore… — Oui, je ne suis plus que votre chose, votre femelle… Désormais, la voilà sodomisée à fond. Il commence alors des allers-retours dans ses reins. En ressort, y replonge… Cela dure un peu, puis il jouit. Sentant ses reins envahis ainsi, son anus remplit de sperme, Anne jouit à son tour et ne peut s’empêcher de laisser échapper un long jet de jouissance sur le fauteuil. Une claque rougit ses fesses… — Que dit-on, Anne, quand on a eu le droit de jouir ?— Merci Monsieur, répond-t-elle tout naturellement.— Et tu ne peux laisser Jacques ainsi. Il lui prend les cheveux, la force à relever la tête et elle voit la verge de son mari dure sous son pantalon. D’une main, Jacques sort son membre raide, le présente à Anne qui le gobe. Elle essaye tant bien que mal d’en prendre la plus grande partie, puis le ressort de sa bouche, lui lèche le gland et le sent vibrer. Elle veut se retirer pour le laisser jouir mais Philippe appuie sur sa queue, la forçant à avaler la jouissance de Jacques, qui part en longs jets au fond de sa gorge. Elle consent à avaler sa semence pour la première fois, puis il se retire et se reboutonne. — Bien, Anne, je vois que tu es aussi une bonne suceuse. Très vite, tes orifices seront donc utilisés. Relève-toi et va te mettre à genoux à côté du canapé, ici, Anne. Elle descend du fauteuil, lui cède la place et ...

... docilement va s’agenouiller à côté. Elle tend une main pour reprendre sa robe, mais la phrase de Philippe claque : — Qui t’a permis ? Laisse ta robe là ! Elle baisse les yeux pendant que Jacques va reprendre place sur le fauteuil. Philippe reste debout à côté d’elle. La voilà nue, ne sachant plus que faire entre ces hommes habillés. — Tu n’as même pas regardé ce que je t’ai amené Anne, prends ton paquet et ouvre-le ! Elle s’avance vers la table basse, prend le paquet, enlève le nœud et l’ouvre. À l’intérieur, un étrange objet s’y trouve sur un petit coussin de velours rouge comme la boite. Elle regarde Philippe interrogateur. Elle croit savoir, mais hésite. Un objet de métal, lisse, froid, comme une lourde boule, puis un plus fin tube qui s’élargit ensuite et se termine comme une poignée de tiroir. — Qu’est-ce Monsieur ?— Un rosebud, Anne, premier signe de ton appartenance. Tu devras le mettre régulièrement, quand je te le demanderai. Tu devras toujours l’avoir près de toi. Elle rougit. Elle a déjà lu cela sur Internet, des femmes portant un rosebud et se donnant ainsi du plaisir. Celui-ci semble encore léger quand on le tient ainsi. Désormais… Elle regarde Jacques incrédule qui ne dit mot. — Tu vas le mettre, Anne ! Elle hésite. Toujours à genoux, elle écarte ses jambes, passe sa main avec le rosebud entre ses jambes, regardant Jacques dans les yeux… Elle pousse le rosebud sur son anus, le sent lui ouvrir à nouveau son cul, puis se refermer sur la tige. Il est en elle, lourd pesant, ...