Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (9)
Datte: 21/02/2021,
Catégories:
Lesbienne
... ma poitrine et déferle en mon âme… Arquée, le sexe tendu vers le ciel nocturne, un râle puissant éclate au fond de ma gorge, envahit ma bouche et s’élance vers l’infini, tandis qu’un jet puissant jaillit entre mes jambes. Eleni poursuit, elle m’accompagne, précautionneusement, par petites touches. Je l’inonde à nouveau. Elle crie. Elle aime. Elle rit. Elle adore ! Je tremble. Je m’effondre. Doucement, Eleni se faufile entre mes jambes repliées. Des baisers couvrent mon bas-ventre, l’intérieur de mes cuisses, le pourtour de mon sexe… Enfin, elle glisse et vient doucement poser sa tête entre mes seins lourds, comblés. Les yeux dans les étoiles, je caresse doucement les cheveux d’Eleni. Son visage, ses épaules, le haut de son dos. Elle pose de temps en temps un baiser sur mon sein. Elle se repose. Nous sommes si bien sur la pierre tiède. Les minutes s’écoulent. - Julia. - Ma beauté… - Il faut partir. Je dois aller dormir. Je travaille demain. - Attends encore un peu… S’il te plaît… - … J’ai envie d’elle. De son corps. Je la pousse doucement sur le côté. Elle se laisse faire. Je coulisse. Mes mains retrouvent sa croupe sublime. Je la saisis. Fermement. Puissamment. Mon pubis se plaque contre le sien. Nos poitrines se collent. Nos bouches se dévorent, se mordent, se cherchent, se repoussent. Ma cuisse entre ses jambes écrase son sexe trempé. Elle en fait de même sur ma chatte inondée. Cette union est sauvage. - Julia… - Ma chérie... - Montre-moi, par derrière… Cette coquine veut ...
... que je pénètre son cul ! Mes ébats avec Adonis l’ont sans doute intriguée, émoustillée ! Ma foi, j’aime tellement son ravissant derrière, je vais m’en occuper avec le plus grand soin ! Dommage que je n’aie aucun accessoire sous la main. Je pétris ses fesses. Je les écarte. Chaque pression déclenche en elle un frisson et un soupir. Elle m’attend. Doucement, je m’écarte de son corps et la laisse reposer contre le rocher, face au sol. Je me positionne à califourchon au-dessus de son dos. Lentement mes mains massent ses épaules, son dos. Ma langue parcourt son épine dorsale. Mon bassin, d’abord immobile, commence à danser doucement. Mon sexe se pose sur ses divines collines. Bientôt, je masse tout son doux petit cul de ma vulve humide et de mes cuisses brûlantes. Son bassin vient à la rencontre de mon entrejambe, je sens ses deux demi-sphères se contracter au rythme de ma danse. Ma liqueur intime se répand sur son postérieur. Elle laisse échapper un gémissement. - Julia… j’aime ton sexe… j’aime tout… - Et moi j’adore ton cul ma petite cochonne ! - Oui… je suis une cochonne… avec toi ! Pour toi ! Je me redresse subitement et lui donne une claque sur la fesse droite. Elle crie mais je sens le plaisir contracter son postérieur. Je recommence. Au moins dix fois d’affilée. A chaque fessée le ton de ses cris devient plus lubrique, ses fesses se contractent plus longtemps… J’arrête. Ma bouche se pose sur sa fesse droite. Je l’embrasse doucement. Je recommence. Je couvre ses deux globes ...