1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (9)


    Datte: 21/02/2021, Catégories: Lesbienne

    ... gauche, gonflé de désir, prêt à éclater… Il éclate : elle a baisé le sommet de mon téton dressé et tout mon être a tressailli. Elle poursuit. Elle me suce. Me tète. Mange tout mon sein. C’est si doux, si bon ! Elle poursuit sur mon sein droit. Elle me rend folle. Elle a compris. Elle veut me faire jouir. Elle reprend sa descente. Mon ventre est dévoré. Elle atteint mon triangle… Elle le hume. Le lèche. Mon odeur de femme s’est répandue. Sa langue remonte le long du pli de mes cuisses. Ses doigts caressent, massent doucement les muscles de mon pubis, ceux du haut de mes cuisses, de l’aine… Elle ne se presse pas. Ressent toutes mes vibrations. Réagit. ynykkag Mon sexe est humide, offert. Elle le contemple. Je relève la tête et la regarde : hésitante… Désirante. Hier, elle n’a pas osé. Nos regards se croisent. Sans me quitter des yeux, sa bouche s’abaisse et se plaque délicatement sur le haut de ma fente. Elle l’embrasse tendrement. Je retiens mon souffle, plongée dans son regard empli de désir. Soudain, doucement, je sens sa langue qui s’immisce entre mes chairs. Elle hésite, goûte, s’enfonce. Je ressens puissamment, dans tout mon ventre, chaque millimètre de son frottement sur mes lèvres. Enfin, la petite pointe de chair ardente s’étend de tout son long au creux de ma faille. Puis elle remonte, lentement, vers mon bouton qui l’attend. Eleni a fermé les yeux. Elle me lèche consciencieusement, appuyant fortement, longuement, s’enivrant de mes sucs, de ma grisante fragrance ...
    ... intime. Elle ne veut rien en perdre. Les vagues qui me traversent sont longues, amples, puissantes… Elle descend. Je sens sa langue dans mon vestibule. Son parfait visage, son nez pointu, se perdent entre mes lèvres… L’agile instrument de sa bouche s’avance dans mon vagin… Il en fait tout le tour, le caresse, le chérit… Ses mains agrippent mes cuisses, se plantent dans mes chairs molles. Je me raidis. Un premier frisson me transperce. Eleni… Ma douce beauté. Entre mes cuisses. Qui me mange. Qui me baise… Ses doigts se sont approchés. Un pouce lutine en mesure mon bouton enflé, empli de jouissance. D’autres doigts me fouillent… Je les sens en moi, contre mes parois, ils me caressent, m’écoutent, me répondent, me guident, vers le plaisir incessant, qui monte, qui m’inonde… D’autres doigts – mais combien en a-t-elle ? – de plus en plus coquins, se sont faufilés entre mes deux belles collines. Elle nous a vus, Adonis et moi, elle sait… Je l’aide. Elle s’immisce sans difficulté. Elle avance au plus loin dans mes entrailles, tandis que sa langue caresse tout le pourtour de ce puits étroit. Je n’en peux plus. C’est si puissant. Eleni, tu es une fée, tu comprends tout, le moindre de mes frissons, de mes gémissements, de mes contractions… Je geins continuellement. Mon corps vibre. Les vagues se succèdent, de plus en plus rapprochées. Enfin, de mon bouton tendu s’élance une onde violente qui dure, s’élargit, remonte, se gonfle des frissons de mon con, de mon cul, de mon ventre, éclate dans ...
«12...567...»