Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Oral
fsodo,
policier,
... que j’enfourne ma tête entre ses cuisses… Oui, pourquoi ? Je commençai à me dire que son mec avait simplement soupçonné quelque chose en la voyant, et l’avait fait causer à sa manière. Du coup, ma colère grimpa encore d’un cran, si c’était possible. S’il y a bien un truc que je déteste, c’est qu’on cogne sur une femme. Sûrement des restes d’avoir vu mon daron cajoler ma mère. Remarque, il ne l’avait fait qu’une seule fois. Je chassai mes pensées lorsque Warda posa sa main sur ma braguette. — Elle était mieux que moi ? m’interrogea-t-elle.— Toi baby, t’es le top, dis-je. Mais Rita aussi, putain. On avait passé toute la nuit a baiser comme des ânes et j’en avais pas eu assez. Mais bon, j’allais pas balancer ça à Warda, quand même. Cette beurette tarée, c’était un coup d’enfer. Ah, si y avait moyen de combiner les deux… Ding ! On était arrivés ! Je la plaquai contre le mur du couloir où nous venions de sortir. — T’es une dingue, toi, chuchotai-je à son oreille. Tu veux des sensations fortes ma puce ? Je vais t’en donner ! Sans lui laisser le temps de répondre, je plongeai ma langue dans sa bouche, tout en glissant mes mains sous son pull. Elle sentait bon, et une légère et fine odeur de transpiration émanait de sa peau. Cela m’excitait encore plus. Je suçai sa langue, caressant voluptueusement ses seins, avant de descendre défaire la fermeture-éclair de son jean. — Quelqu’un peut nous voir, gémit-elle, son souffle chaud dans ma nuque me faisait frissonner.— Je m’en fous. Le ...
... couloir bifurquait à droite et à gauche et donnait sur des portes, blindées pour la plupart. Pas un bruit. Je glissai ma main dans son jean, sentant l’humidité à travers sa culotte. Je ne cessai de l’embrasser sauvagement, léchant ses lèvres et suçant sa langue comme si c’était un fruit bien juteux. Il ne me fallait qu’un instant pour que mes doigts viennent effleurer son sexe humide, la faisant gémir. — Baise-moi, me murmura-t-elle. Comme une chienne. Comme ça, devant tout le moooooooo… Je venais d’enfoncer deux de mes doigts en elle, brusquement. — Oui ! Elle se cambra contre le mur, les yeux clos. Je remontai son pull, sortis l’un de ses seins et passai ma langue sur le mamelon dressé, encore et encore, sans cesser le va-et-vient de mes doigts en elle, dans son vagin étroit et serré. — Doucement, me dépucèle pas ; doucement… Mais j’avais l’habitude, je savais jusqu’où aller pour la préserver. Elle gémissait, se tordait, comme si elle voulait m’échapper. Mais c’était pas du tout le cas. Il me suffisait de la regarder dans les yeux. Elle en voulait plus, toujours plus. — Baise-moi, G ! Je pris la pointe de son sein dans ma bouche et tétai comme un fou. Ses doigts se posèrent sur mon visage. — Oui ! J’amplifiai encore le mouvement saccadé de mes doigts. Warda poussa soudain un cri rauque et retomba, épuisée, contre le mur. Ma bite compressée dans mon caleçon me faisait mal. Je la sortis comme je pus, déjà raide qu’elle était, c‘était pas évident. Je pris ma beurette cinglée par ...