1. Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)


    Datte: 22/02/2021, Catégories: fh, ffh, Oral fsodo, policier,

    ... l’épaule et la fit agenouiller devant moi. Elle comprit le message, et, haletante, ouvrit grand la bouche pour que j’y plonge ma queue, dure malgré toutes les séances de baises sauvages où je l’invitais. Mais je voulais me réserver pour plus tard. J’enfonçai ma bite aussi loin que je pus dans la bouche de la demoiselle, qui tentai de l’avaler toute entière, et la ressortis alors qu’elle suffoquait presque. Warda y laissa une énorme quantité de salive et me supplia, alors que je tentai de me rhabiller : — Non, laisse ! Je veux te boire. Je secouai la tête, essayant d’ignorer sa dernière phrase, essayant de ne pas penser au plaisir que ce serait de répandre mon sperme dans sa bouche en la regardant tout avaler, comme elle l’avait déjà fait. — C’était juste un avant-goût, ma belle. Gardons la tête froide. Les choses sérieuses commencent maintenant. *** Je me postai juste en face de la porte de l’appartement de mon enflure favorite. Rita y était-elle ? C’était probable, en effet. Je souris en songeant que Since et moi avions passés une soirée chez lui, et en plus, on y avait baptisé les lits qui, désormais, se rappelaient de nous, j’en étais sûr. Pour autant qu’un lit ait de la mémoire. Warda me dévisageait avec de grands yeux, une goutte de sueur coulait le long de sa tempe. — Et maintenant ? Je la pris par la main. — Frappe, ma belle. On a plus envie de t’ouvrir qu’à moi.— Et moi, j’ai envie de les ouvrir qu’à toi, rétorqua-t-elle. J’éclatai de rire et pressai la sonnette. ...
    ... Définitivement, je vivais dans un monde formidable… Je crus alors entendre un cri étouffé. Je me penchai et déposai l’oreille contre la porte, alors que Warda sonnait à nouveau. — T’as entendu quelque chose ? me demanda-t-elle.— Je crois… Une sorte de « hmmmfff » lointain mais puissant. Comme quelqu’un bâillonné. — J’vais enfoncer la porte, fis-je, et je joignis le geste à la parole. Un violent coup de pied fit sauter la serrure et envoya claquer la porte contre le mur de l’entrée. Warda sursauta et se planqua contre le mur. Je levai mon flingue vide devant moi. Un petit couloir impersonnel. Deux paires de baskets. Je retraçai la configuration des lieux, mais vu l’état embrumé dans lequel je m’étais trouvé la dernière fois, c’était dur. — Viens, soufflai-je à ma compagne. Le « hmmmfff » retentit de nouveau, en sourdine. — Reste derrière moi. Elle referma la porte derrière nous. — Rita ? appelai-je. Le « hmmmfff » de nouveau, beaucoup plus fort, accompagné de coups sourds, en provenance du fond de l’appartement, vers la chambre. — On y va, fis-je. Maintenant, j’en étais sûr, Rita avait été enfermée ou quelque chose comme ça, par son petit copain. En attendant qu’il rentre, et qu’elle ne puisse s’enfuir entre-temps. Nous traversâmes le petit salon, où je nous revis, Since et moi, avec une sorte de petit sourire aux lèvres, et nous nous retrouvâmes devant la chambre de Rita. La porte était entrebâillée. Je la poussai légèrement, prévoyant l’éventualité que le coco se trouve derrière ...
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