Je dévergonde ma mère... (4) - Histoires de Sexe

Je dévergonde ma mère... (4)

Après notre séance de masturbation par écrans interposés, j’avais rêvé de ma mère toute la nuit. Je lui avais fait l’amour dans les positions les plus invraisemblables et lui avais giclé dans tous les trous. Je me réveillais avec une gaule de compet’. Je me ruais sur le Mac sans même attendre que mon premier Expresso n’ait coulé. J’espérais bien un message de Maman. Je ne fus pas déçu. Un petit message texte dans lequel elle résistait mollement : — Salut mon chéri. Excuse-moi de t’avoir quitté si rapidement hier. C’était la seule chose à faire après notre dérapage. Je ne sais pas si tu te rends compte mais on est dans l’inceste. Je me sens si coupable. C’est moi qui ai dû te provoquer ou quelque chose comme cela. Je m’en veux et je voudrais tant que tu me pardonnes. Nous allons oublier cette histoire et reprendre notre vie comme si de rien n’était. Je suis ta Maman et je t’aime comme une Maman. Je suis sûre que tu trouveras une femme qui saura t’aimer et te combler sexuellement. Moi je suis trop vieille maintenant et je devrais juste accepter que je ne trouverai jamais l’homme idéal. Je t’embrasse bien fort. Maman. Ce message sonnait comme une dernière tentative d’échapper au péché suprême. Maman se sentait coupable, c’est sûr. Mais pas de m’avoir provoqué comme elle l’écrivait. Plutôt d’avoir envie de moi et de mouiller pour ma grosse bite. Elle n’assumait pas son désir. Son éducation « vieille France » lui avait fait voir l’inceste toute sa vie comme un acte contre nature. ...

... Elle se sentait attirée par moi, ce qui créait une culpabilité immense. Elle devait se sentir mauvaise, vicieuse et je ne sais quoi encore. Il était temps que j’aide ma mère à se libérer de son carcan moral. Je décidais donc de répondre par écrit. — Ma chère Maman. Je vois bien que tu te sens triste par rapport à ce que nous avons ressenti tous les deux hier. Pourtant je n’y vois rien de mal. Tu ne devrais pas te sentir coupable. Nous avons tous été conditionnés par l’interdit très lourd qui pèse sur l’inceste. Si je bande pour toi, c’est parce que je trouve que tu es la plus belle femme du monde et que je t’aime de l’Amour le plus pur qui soit. Et c’est exactement pareil pour toi. — Je sais que comme moi tu ressens un désir ardent. Je sais que tu te masturbes en pensant à moi. Je fais la même chose. Je voudrais juste que tu cesses de culpabiliser et que tu assumes les messages que ton corps t’envoie. Je veux téter tes seins et explorer chaque centimètre carré de ta peau. Je veux jouir de toi entièrement et te donner du plaisir comme tu n’en as jamais reçu. Je veux tout et je te donnerai tout. Et il n’y a rien de mal à ça. Au contraire, en libérant nos pulsions physiques, notre Amour grandira encore et notre lien sera renforcé. Pourquoi alors devrions-nous nous priver de ce que la vie nous offre de plus beau ? — Je te demande de sentir avec ton corps, d’être Nathalie et de te donner à l’homme que tu aimes. Je sais que tu en as envie. Il faut juste sauter le pas. Donc je vais ...