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Je dévergonde ma mère... (4)
Datte: 22/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... j’ai mis mon plan à exécution. Au réveil, je me suis bandé le poignet et la main droite. Je suis alors descendu au salon. J’y ai trouvé Gina à qui j’ai expliqué que je m’étais foulé le pouce la veille au rugby et qu’il me fallait garder ce bandage plusieurs jours. Avec mon meilleur regard de cocker, je lui demandais aussi de bien vouloir m’aider à me laver car je ne voulais pas mouiller ma main. Elle ne se fit pas prier et me suivit vers la salle de bains du premier. Elle m’expliqua qu’elle ne voulait pas mouiller son jeans et son T-shirt. Elle se déshabilla donc pendant que je commençais à prendre ma douche. Elle me rejoignit très vite, seulement parée d’un string rouge en dentelle. De ce que je pus en juger sa touffe était très fournie. Ses seins nus, magnifiques et bien pleins, ballottaient au gré de ses mouvements. Elle commença à me frotter le dos. Je n’avais pas de gant de toilette, il fallait y aller à mains nues. Elle s’attarda sur mes fesses qu’elle trouva très fermes et très musclées. Elle caressa ma raie et mon anus longuement, effleurant parfois mes couilles par-derrière. Lorsqu’elle me demanda de me retourner, j’avais une gaule large comme mon poignet. Inévitablement, dans cette petite douche, ma queue énorme atterrit sur son ventre. Elle poussa un petit cri de surprise mais garda une certaine contenance. Elle me savonna le torse et les épaules pendant que mon manche était collé à son nombril. Puis elle s’occupa de mon ventre et descendit lentement ses mains. ...
... Avec une certaine fermeté, elle attrapa l’objet de son désir et commença à le savonner. Elle montait et descendait lentement avec ses deux mains le long de ma tige. Elle comme moi respirions plus fort. Elle me malaxait les couilles de temps en temps. Très clairement, elle n’était plus en train de me laver mais bien de me branler. J’ai senti que le moment était venu de passer à la vitesse supérieure. Je m’étais déjà fait sucer une fois par une fille du lycée et depuis, je rêvais de sentir à nouveau le fourreau moelleux d’une bouche sur ma pine. Je saisis donc Gina par les épaules et tout en les caressant, j’imprimais une poussée vers le bas. Elle ne résista pas beaucoup. Elle dit quelque chose en italien que je ne compris pas et s’agenouilla lentement, sans quitter ma bite des yeux. Elle me pompa comme une reine pendant quelques minutes. Sa bouche se déformait pour faire passer mon gros chibre, qu’elle enfonçait profondément dans sa gorge. Elle bavait beaucoup et ses allers-retours produisaient des bruits de succion obscènes. Le plus dingue, c’est qu’en même temps elle me regardait droit dans les yeux. Cette première gorge profonde m’impressionna beaucoup et restera un de mes grands souvenirs de cul. Comme elle vit que je ne résisterai pas longtemps à ce traitement extrême et qu’elle voulait sûrement jouir aussi, elle se releva, plaça ses mains contre le mur en carrelage, se cambra au max et m’invita à la prendre par-derrière. Je ne l’avais encore jamais fait debout. J’ai donc ...