Je dévergonde ma mère... (4) - Histoires de Sexe

Je dévergonde ma mère... (4)

... t’envoyer un billet d’avion et je veux que tu viennes me rejoindre à Düsseldorf. Nous devons en avoir le cœur net. Je t’aime Maman et je sais que tu m’aimes aussi plus que tout. Fais-moi confiance. Je t’embrasse tendrement. Ton Chris. J’étais très ému après avoir écrit ce message. J’ai appelé l’agence de voyages pour réserver un vol pour vendredi soir de cette semaine. Dans deux jours ! J’espérais que ma mère ne se dégonflerait pas. En attendant j’étais aussi très excité et je décidais de visionner une petite vidéo de ma collection porno personnelle pour me branler un bon coup, avant d’envisager quoi que ce soit d’autre. J’avisais l’étagère où je rangeais mes vieilles VHS et je vis la série que j’avais tournée avec ma belle-mère presque 20 ans auparavant. « Mes débuts incestueux. » pensais-je avec un sourire. Ce premier amour interdit, je m’en rappelle comme si c’était hier... J’avais 19 ans. Mes parents étaient divorcés depuis quelques années quand mon père se remaria avec Regina, jolie brune de 27 ans. Elle était d’origine italienne et cela se voyait. Longs cheveux noirs, le teint mat, poitrine de taille moyenne (85C), très harmonieuse et un cul galbé d’athlète. Elle était prof de sport et sa silhouette attestait des longues heures passées à transpirer sur tous les stades de la région. Gina, comme je l’appellerai par la suite, avait 20 ans de moins que mon père et dès le début de leur mariage, elle constata que ce quadra bedonnant ne pourrait pas la satisfaire avec sa ...

... petite queue demi-dure. Gina était vénale et ce mariage était pour elle surtout une affaire financière. La fortune de mon père valait bien quelques sacrifices. Néanmoins elle avait de gros besoins sexuels et sa frustration ne pouvait qu’augmenter avec le temps. Lors des vacances d’été que je passais chez eux l’année suivant leur mariage, elle trouva un moyen de se faire du bien, tout en restant l’épouse bourgeoise parfaite dont mon père avait besoin... Je prenais toujours ma douche au premier, où se trouvaient les chambres des enfants. Mon grand frère ne venait plus guère ici. C’était donc mon étage. Mon père et sa femme dormaient dans la grande suite du rez-de-chaussée. Un matin, je me levais vers 10h00, une énorme gaule sur le ventre, comme chaque jour. Puisque j’étais seul, je décidais d’aller pisser comme j’étais, c’est-à-dire nu. Pas très bien réveillé, je me suis rendu à la salle de bains et alors que j’entrais, je me trouvais nez à nez avec Gina. Enfin, nez à bite devrais-je dire, car elle étant accroupie dans la douche et moi debout, son visage se trouvait donc à 30 centimètres maximum de mes couilles. Elle fut surprise et moi aussi. Je couvrais désespérément mon érection de mes mains et courais dans ma chambre, rouge de honte et de colère. J’enfilais immédiatement un caleçon et alors que je réfléchissais à comment me sortir de cette situation honteuse, elle déboula dans la chambre. Elle m’expliqua qu’elle n’était pas fâchée. Qu’il ne fallait pas avoir honte mais peut-être ...