LULU 7 FIN
Datte: 29/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
-Quand on a un contrat ici, on ne s’évade pas, on bosse, on gagne son argent. Richard t’a vendue à Pablo. Ton maître te procure du travail contre un bon salaire. Enfonce toi ça dans le crâne. C’était la punition réservée aux fugitives. Malgré l’habitude prise de rapports prolongés et fréquents, je finis par m’évanouir tellement ces brutes me malmenaient, chacun des quatre se nichant dans un orifice, ou me pinçant, me caressant rudement en attendant son tour. Je sais ce qu‘est une tournante, c‘était pire parce qu‘ils voulaient me faire mal pour me punir. Un seau d’eau froide me ranima. Ils m’appliquèrent une terrible fessée, évitant de marquer mon visage. Je passai d’un genou à l’autre. Mon bourreau m’administrait les coups avec vice: il frappait mon sexe, mon cul, mes cuisses. Quand une main se lassait, l’exécutant me poussait chez le suivant et les claques sur ma croupe résonnaient plus fort. Certains pinçaient sadiquement mes « nichons de salope », les giflaient, chatouillaient la plante de mes pieds. Ils m’introduisirent dans le vagin le goulot d’une bouteille de champagne. Je criais de douleur, ils s’en fichaient. Je m’évanouis pour la deuxième fois. Je revins à moi dans le noir, nue, grelottant de froid, la peau couverte de sperme. Je pleurais longuement, m’endormis la faim au ventre, toute endolorie, incapable de localiser la source de ma douleur. L’ampoule du plafonnier s’alluma. Je vis avec terreur la même escouade précéder Pablo. Celui-ci tenait en laisse un gros ...
... chien d’attaque à la mâchoire carrée et baveuse qui tirait sur son lien pour se jeter sur moi. - La prochaine fois c’est mon chien qui te sautera si tu t’avises encore de rompre ton contrat. Bon les gars, elle est à vous. Elle ne doit pas manquer de sexe. Aujourd’hui nourrissez la de sperme, elle n’aura pas d’autre repas. La menace du chien suffit à me couper l’envie de fuir. Pablo me lança une vieille couverture sale, puante, trouée et partit. Le supplice recommença. Ils eurent la bonté de me pincer le nez pour me faire ouvrir la bouche afin d’y projeter à plusieurs reprises ma seule boisson et nourriture, leur sperme. Trois jours de suite j’eus droit aux mêmes soins. On me battait, on attendrissait ma viande, on la chauffait, on la perçait, on la bourrait et on l’abreuvait de foutre. J’avalais au moins pour étancher ma soif. Je n’en connaissais aucun. Rien, ni regard ni pleurs ne pouvait les attendrir ou leur inspirer de la pitié. Ils étaient payés pour me dresser, ils y mettaient tout leur cœur, une hargne incompréhensible pour la femelle livrée à leur bon plaisir. Ils avaient « une putain » gratuite à salir et à humilier, à baiser et à faire souffrir. C’était gratuit et sans risques. La peur du molosse la réduirait au silence. Ils en profitèrent pour se livrer à des essais dictés par leurs fantasmes. Forcer mes fesses, me sodomiser longuement dans toutes les positions, me faire mal, me pousser à demander un répit ou à supplier était leur jeu préféré. La bouche pleine, un ...