1. Les deux anges d'Amorgos


    Datte: 29/10/2017, Catégories: ff, ffh, jeunes, vacances, plage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio,

    ... que je reviens bien vite vers la plage. — Alors, elle était bonne ? Elles sont là toutes les deux, assises à côté de mon essuie. Et moi, nu. Pris au piège. Pour ma défense, je choisis le naturel. — Oui, oui, très bonne. J’essaye de parler le plus calmement possible, j’essaye de masquer mon trouble. Je lance même une pique : — Vous devriez essayez.— Tout à l’heure, sans doute ! Je m’assois à côté d’elles en essayant de me donner une contenance. Je sens le vent sur ma peau, sur mon sexe, et cette sensation me rappelle encore que je suis offert à leurs regards. J’ai les intestins qui se tordent. Et qui lancent une flèche vers mon sexe, aussi. Peut-être est-il content d’être regardé ? — Pas d’oursins ?— Mais non, y’en a pas. Tu parles, il y a trente secondes, j’en avais une frousse bleue comme la mer. J’espère qu’elles ne l’ont pas remarqué. Mais pourquoi les hommes ne peuvent-ils pas montrer leurs faiblesses ? Pour ne pas montrer que je suis gêné d’être nu, je ne me rhabille pas tout de suite. Je joue même un peu avec ça, osant m’affirmer naturiste. — Vous avez joué aux cartes ?— Un peu. On venait boire sur la plage, dit Céline, en désignant la bouteille de vin entre elles.— T’en veux ? propose Isabelle. Je bois quelques gorgées. On parle. « Tu fais quoi ici, qu’est-ce que tu aimes, ho tu es déjà venu à Amorgos, c’était quand. » Je prends un peu d’assurance au fil de la conversation. Je me couche même sur le dos, offrant mon sexe à leurs regards. Je les sens me passer aux ...
    ... rayons X, sous la demi-lune qui nous éclaire. — On va nager ? lance Céline— Ok, fait Isabelle, sans se faire prier. En deux minutes elles sont nues comme moi. Et je ne me gêne pas pour détailler leurs fesses quand elles courent vers la mer. Elles s’y amusent comme des gamines. Elles se poussent dans l’eau, s’éclaboussent. Beaucoup plus d’assurance que moi, qui descend timidement. Les observer me donne pas mal d’idées : leurs seins, menus pour l’une, plus imposants pour l’autre. Tendus par le froid. Leurs fesses. Leur insouciance aussi. Ça réveille mon sexe qui se tend un peu. Il est temps que je plonge. — Allez, viens !— T’as peur ou quoi ?— Non, non, j’arrive. J’essaye de participer à leur jeu, mais je ne suis pas tout à fait à mon aise. À un moment, l’une d’elles approche de moi sous l’eau, attrape ma jambe et me fait tomber, non sans placer ses mains franchement sur mes fesses et près de l’aine. J’ai à peine le temps de m’en rendre compte que je suis déjà sous l’eau. Elles en rient beaucoup, d’ailleurs. C’est le moment qu’elles choisissent pour regagner la plage. — Hé ben, t’es plus à l’aise dans les montagnes, toi.— Heu… Non mais, qu’est-ce qu’elles se permettent ces deux là ! Isabelle est couchée sur le ventre, et Céline sur le dos. Nouvelle salve de « Tu viens d’où, tu fais quoi dans la vie, ho c’est intéressant, depuis quand, ton plat préféré ? » Je détaille chacune de leurs courbes. D’autant plus que Céline, avec une jambe relevée et légèrement écartée, m’offre sa toison à ...
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