1. Tante Jacky dans la grange


    Datte: 08/03/2021, Catégories: h, fh, extracon, alliance, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, amourcach, prememois,

    ... inondés de sueur tous les deux et semblaient conscients que jamais ils ne parviendraient vraiment à étancher totalement la soif de leurs plaisirs sexuels. Tante Jacky avait les cheveux tout emmêlés et remplis de brins de foin secs et jaunâtres, donnant à sa coiffure un cachet vraiment exotique. L’oncle Jacob la regarda boutonner sa robe et, après avoir raffermi son pantalon, fit quelques pas sur le pavé de la grange pour lui rapporter sa culotte, qu’il lui remit entre les mains dans un geste empreint de douceur, comme regrettant de s’être brusqué à son égard. Tante Jacky semblait tout à coup épuisée et perdait presque l’équilibre en tentant de remettre sa culotte. Il s’approcha d’elle et lui dit : — Laisse-moi te remettre ta culotte, ma chère petite belle-sœur, toi qui fais l’amour comme une déesse. Tu sembles pas mal épuisée. Pas vrai ? Ce disant, il s’était suffisamment rapproché d’elle pour lui asséner une petite claque sur une fesse, qu’il voulut ressemblant plus à une caresse qu’à un geste de brute épaisse. Elle s’agrippa à lui et, à son tour, il s’acharna maladroitement à lui remettre cette précieuse culotte. Je constatai que mon oncle était bien plus habile à la lui enlever, cette petite culotte, qu’à la lui remettre. Pendant ce temps, ma tante Jacky souriait et lui caressait les cheveux tout trempés de sueur. Une fois rhabillés, ils se dirigèrent côte à côte à pas lents vers la porte grandement ouverte de la grange sans exprimer un seul mot, comme s’ils avaient peur ...
    ... que le charme s’éteigne sous le soleil qui, dehors, attendait patiemment pour les ramener à une plus sage réalité. Ils étaient beaux ainsi sous les rayons du soleil, regardant dans le vide comme pour ne plus jamais oublier ce moment de pure passion. Je vis fort bien qu’ils n’osaient se regarder, car sans doute leurs mots auraient été murmurés tant ils auraient ressemblé à des caresses. Lorsqu’ils furent disparus de ma vue, encore ému de tout ce dont je venait d’être témoin, je me relevai de ma cachette et sortis mon pénis tout raide et excité. Je savais que je devais absolument satisfaire cet immense besoin d’assouvir ma passion. Mes testicules éclateraient dans l’heure, si je ne me les vidais pas soigneusement et immédiatement. Je regardai mon pénis et me dis : — Hum ! Ma tante. Avec le mien je vous défoncerais sûrement. En effet, mon pénis avait un bon pouce de plus que celui de mon oncle et je savais dorénavant que je pourrais faire des miracles avec cet engin. Décidé, je me masturbai ainsi, debout, tout en haut sur le bord du fenil, le regard plongé vers le petit tas de foin sur lequel venait de se déchaîner tant de sauvages passions. Il fallait absolument que je soulage la tension de mes testicules bourrés à craquer de jus de crosse. Le désir brûlait en moi avec une sauvagerie inconcevable et pendant un moment, je crus que je pouvais imaginer que c’était moi qui venais de faire l’amour à tante Jacky. Lorsque je sentis que j’étais sur le point de décharger, je m’approchai ...