1. Découverte de la soumission


    Datte: 13/03/2021, Catégories: h, fplusag, fagée, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation init, vêtements,

    Je venais d’avoir dix-huit ans, mais j’en paraissais quinze, tant j’étais menu, timide, et encore dans les jupes de Maman. J’avais un corps de fille, avec une peau très fine, imberbe, qui me valait des moqueries de mes camarades qui m’appelait « la fille » en parlant de moi, de façon plus moqueuse que méchante dans la cour du lycée. Ils pensaient ainsi jouer les mâles virils devant les filles qu’ils convoitaient, uniquement pour ce qu’elles avaient dans leurs petites culottes blanches ou roses…. Moi, les filles, elles m’aimaient bien, et me regardaient en effet comme une « bonne petite copine », d’abord parce que j’étais prévenant avec elles, et aussi parce qu’elles pensaient que je n’étais pas obsédé par leur petit sexe de vierge comme mes camarades. Mais moi aussi j’avais des envies, de plus en plus pressantes, je n’en finissais plus de me masturber chaque nuit en pensant à elles, en pensant surtout au proviseur, une belle femme de 59 ans… J’étais surtout vierge, et cet état me pesait de plus en plus. Mais j’étais trop timide, trop rougissant, lorsque je les regardais, pour leur exprimer mon désir de petit mâle comme le faisaient mes camarades, dont certains avaient d’ailleurs déjà connu des expériences sexuelles, parfois avec des femmes beaucoup plus âgées. J’avais en outre profondément en moi le souvenir de cette institutrice sévère, encore jeune et belle, portant bas et jupon, qui m’avait puni en me mettant sous son bureau un moment. Grâce à elle, je me sentais un ...
    ... irrépressible désir d’aimer les femmes, mais en me mettant au service de leur jouissance, et je m’imaginais aux pieds de toutes les femmes attirantes que je côtoyais, jeunes ou âgées. Surtout âgées, maigres ou rondes, mais avec une préférence pour les femmes âgées, avec une forte poitrine, intelligentes, à la fois souriantes et un peu narquoises, de préférence d’aspect sévère et maternel… La vie allait enfin me donner l’occasion de devenir un homme, mais un homme aux pieds d’une femme, dans un amour hors normes : avec une femme beaucoup plus âgée, une femme de soixante ans, belle, autoritaire et vicieuse. Une femme qui aimait les petits garçons rougissants comme moi, sûre de les tenir en son pouvoir et d’en faire les esclaves de ses désirs les plus inavouables…. Ma tante recevait souvent en ma présence l’une de ses amies d’enfance, Élisabeth, veuve, ancienne directrice du collège catholique. Madame Liz avait soixante-huit ans et l’aspect impressionnant d’une femme d’autorité, et même autoritaire. On percevait à la voir qu’elle avait occupé d’importantes responsabilités administratives. Tout chez elle attirait le puceau que j’étais : ses tenues strictes mais près du corps, montrant des hanches larges et un lourd fessier, une forte poitrine un peu tombante mais qu’elle remontait visiblement et mettait en valeur dans des soutiens-gorges un brin provocants. Sa coupe de cheveux au carré et ses lunettes renforçaient son air d’intellectuelle, sûre d’elle, autoritaire, naguère encore ...
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