1. Découverte de la soumission


    Datte: 13/03/2021, Catégories: h, fplusag, fagée, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation init, vêtements,

    ... intellectuelle. Pressé d’en finir, j’allais d’abord nourrir son chat, qui s’était d’ailleurs enfui à mon arrivée sous un quelconque meuble, puis je commençais à arroser les plantes avec le petit arrosoir qu’elle m’avait laissé dans la cuisine. Selon ses directives j’allais ensuite arroser une plante dans la salle de bains. Je remarquai au-dessus de son lavabo des produits de beauté, en grand nombre : des parfums, des crèmes, des rouges à lèvres de couleurs différentes. Je ne pus résister au plaisir d’aller sentir ses produits de beauté, et notamment ses rouges à lèvres. Je me permis d’en essayer un sur mes lèvres pour en sentir aussi le goût. Tous ces produits illustraient le soin qu’apportait l’amie de ma tante à sa beauté. Et elle était effectivement très belle, d’une beauté mûre, fardée, qui séduisait le puceau que j’étais encore. Bizarrement, la plante qui devait être l’objet de mes soins avait été déplacée sur le coin du meuble, comme le montrait une trace d’humidité à son ancien emplacement. Elle dominait de peu une grande corbeille à linge dégageant une odeur indéfinissable, doucereuse, délicat mélange d’odeurs corporelles, de sécrétions intimes et de linge parfumé. Le couvercle de cette corbeille était mal placé et laissait pendre au dehors, de manière impudique, le bonnet d’un superbe soutien-gorge, de couleur noire. J’étais seul dans l’appartement, personne ne pouvait me surprendre. Pris d’une soudaine curiosité j’enlevai le couvercle de la corbeille à linge, ...
    ... m’agenouillai, plaçai ma tête au-dessus cette corbeille et respirai cette odeur indéfinissable, cette odeur d’intimité de femme mûre. Je restais là un instant à m’enivrer de cette odeur, n’osant pas encore aller plus loin, et puis soudain un désir montant du plus profond de mon ventre brisa la frêle barrière qui me retenait d’aller plus loin. J’avais déjà une fois cédé à cette envie de sentir l’odeur d’une femme et j’avais subrepticement reniflé une culotte sale de ma tante. Ici, il n’y avait pas la barrière morale de l’inceste avec ma tante, et je sortis le soutien-gorge que je portais à mes narines pour retrouver l’odeur de cette femme qui m’attirait déjà depuis un moment. Les bonnets était d’une profondeur impressionnante, je regardai l’étiquette : 110 D. Mon imagination fit apparaître deux seins très lourds, un peu pendants, avec de gros tétons bien saillants, et le désir de les prendre en bouche de les téter, de redevenir bébé pour en aspirer le lait tiède. Cette femme, rien que par le pouvoir de son énorme poitrine me faisait rêver de revenir, moi l’adolescent fier de mes dix-huit ans, à l’état de bébé entre ses bras. Je poussais mon investigation, car la corbeille était à moitié pleine de linges moins intéressants : serviettes et gants de toilette, que j’imaginais cependant passant et repassant entre ses cuisses, chaussettes, qui habillaient ses chevilles délicates, chemisier blanc, jupe, mais surtout deux culottes… Je les sortis et les déposai sur le rebord de la baignoire. ...
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