Découverte de la soumission
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
h,
fplusag,
fagée,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
init,
vêtements,
... portée à dominer les collègues et les adolescents placés sous son autorité qu’elle voulait sans partage. Chez elle, pas de revendications abusives, tout le monde marchait à la baguette, ce qui lui attirait la réprobation de ses collègues féminines et l’admiration, secrète, de quelques collègues masculins. On devinait néanmoins que derrière cet aspect sévère se cachait une femme, certes dominatrice, mais qui savait aussi se faire maternelle pour atténuer la dureté de sa domination. Cette domination, qu’elle exerçait encore il y a peu, était fondée sur une prise en mains de tous les jours des personnes qu’elle désirait soumettre à sa volonté et, il faut le dire, infantiliser autant qu’elle le pouvait. Elle avait dominé son petit monde par la seule force de sa volonté, de son autorité naturelle, de son intelligence et de sa culture, peut-être aussi auprès de ses collègues masculins et de ses chefs grâce à une féminité exacerbée par sa forte poitrine, son fessier imposant. À l’encontre des collègues et des adolescents récalcitrants, elle avait su aussi manier la dérision et se faire parfois très cruelle… Aujourd’hui en retraite, son ancien pouvoir lui manquait et elle cherchait un petit homme pour à nouveau exercer son pouvoir, dominer et contraindre, ce qu’elle aimait le plus étant même un peu sadique. Il est clair qu’elle m’avait tout de suite remarqué lors des visites que je rendais à ma tante, et elle s’était parfois laissée aller à me tapoter la tête ou les fesses, comme on ...
... le fait à un enfant, lorsque je passais devant elle, à me prendre par épaules lorsqu’elle m’embrassait en partant. Dernièrement, elle m’avait même embrassé au coin de la bouche et j’avais cru sentir sa langue sur mes lèvres, puis sur les lèvres très vite, subrepticement, sans que ma tante le remarque. J’étais devenu tout rouge ce qui l’avait fait sourire et me regarder avec un regard soudain intéressé. Je percevais qu’il se passait quelque chose entre elle et moi, mais, puceau comme je l’étais, j’étais incapable de comprendre ce qu’elle désirait… Heureusement, elle allait prendre les choses en mains. Une occasion allait se présenter lorsqu’elle me demanda si je pouvais aller nourrir son chat durant un séjour de trois jours qu’elle devait effectuer à Londres. Je n’étais pas trop partant pour effectuer cette tâche, j’avais d’ailleurs essayé de me défiler en arguant de mes autres occupations, mais elle avait insisté assez sèchement et j’avais eu peur de lui déplaire en refusant, d’autant que c’était une vieille amie de ma tante. Au jour dit, un mercredi, je m’étais rendu à son domicile dont elle avait déposé les clés chez ma tante. Elle m’avait aussi laissé un mot : « N’oublie pas d’arroser les plantes, surtout celle qui se trouve dans la salle de bains, près de la corbeille à linge… Vois aussi l’eau des fleurs dans ma chambre, sur ma commode près de la coiffeuse ». Son appartement était à son image : superbe. Partout des objets anciens, des livres, qui donnaient l’image d’une ...