1. Découverte de la soumission


    Datte: 13/03/2021, Catégories: h, fplusag, fagée, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation init, vêtements,

    ... L’une était noire et toute de dentelles, fine et soyeuse au toucher, l’autre blanche, toute simple, en coton blanc. Je regardai la taille de ces culottes, toutes deux largement échancrées, c’était du 48, de quoi habiller l’imposant fessier de l’amie de ma tante. Je ne savais pas si je devais aller plus loin : j’avais déjà violé l’intimité d’une femme qui m’avait fait suffisamment confiance pour me confier ses clés. J’avais mauvaise conscience. Mais l’envie qui me prenait de cette femme était trop forte, et ma petite verge était devenue toute dure dans ma culotte, qui laissait d’ailleurs apparaître une grosse proéminence sur le devant… Je pris la culotte noire et je respirais son odeur d’abord au niveau des fesses, puis la dépliant j’examinais son entrejambe avec soin à la recherche de la moindre trace laissée par celle qui devenait peu à peu ma maîtresse… Le fond était taché par ses sécrétions les plus intimes, descendues de son vagin, avec quelques poils, certains blancs, provenant de ses lèvres. Il y avait aussi, à n’en pas douter, des traces laissées par les dernières gouttes d’urine recueillies par une culotte relevée trop prestement. L’ensemble avait une assez forte odeur, indéfinissable, mais terriblement excitante pour un puceau comme moi. Je respirais cette odeur avec délice. Ayant glissé mon visage dans cette culotte, je léchais et suçais son entrejambe, ravivant des odeurs de sexe mature très excitantes. Je fis de même avec la culotte de coton blanc, peut-être ...
    ... encore plus intime car culotte de tous les jours, de celle que l’on ne porte pas pour ses amants mais pour son mari. Mais il était temps de reprendre ses esprits, de tout ranger pour ne pas être démasqué, et d’aller arroser l’autre plante dans sa chambre, et peut-être d’y découvrir d’autres trésors intimes, car maintenant je commençais à me demander si ce que je venais de vivre n’était pas l’un des éléments d’un piège tendu pour le jeune et naïf puceau que j’étais encore. Toujours avec mon petit arrosoir, et mon petit sexe bien bandé, je me rendis dans la chambre de Madame Liz, Élisabeth, je pouvais bien l’appeler ainsi puisque j’étais en quelque sorte entré dans son intimé par ma fouille indiscrète de ce qu’elle avait de plus secret : son bac à linge sale, ses culottes souillées… Arrivé dans sa chambre, j’avais trouvé la fameuse plante posée bizarrement, là aussi, sur une commode ancienne, et manifestement pas à sa place habituelle. Je commençais à entrevoir le jeu de piste qui m’était proposé, par une femme dont je découvrirai plus tard la perversité lubrique… Cette chambre était, elle aussi, superbe : meubles anciens, tableaux, gravures de qualité, tout dénotait la femme de goût qu’était l’amie de ma tante. Le lit surtout, très large, attirait l’attention d’autant que l’on y avait négligemment jeté, mais bien évidence, les vêtements et sous-vêtements portés la veille du départ à Londres. Il y avait une longue robe de couleur perle, un chemisier rose en satin, une combinaison. ...
«1...345...»