Découverte de la soumission
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
h,
fplusag,
fagée,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
init,
vêtements,
... transparente et enrichie de fines dentelles, une large, mais fine et soyeuse culotte blanche, et surtout un monumental soutien-gorge de même couleur, capable de retenir l’énorme poitrine qui me faisait saliver depuis déjà un moment… Je restai un long moment à détailler tous ces trésors, puis je me mis à genoux et je les pris un par un, presque religieusement, pour les admirer, les palper, les caresser, les sentir, le cœur chaviré de penser qu’ils avaient été en contact intime avec le corps de celle qui devenait peu à peu, sans le savoir, ma Maîtresse Je commençai par palper et renifler le chemisier et la robe de ma Maîtresse dans lesquels je retrouvai le délicat parfum qu’elle laissait derrière elle lorsqu’elle venait rendre visite à ma tante. Un parfum délicat, comme en portent les femmes soignées dans la cinquantaine ou la soixantaine, et je pensais à cet instant à son âge que j’avais appris depuis peu : soixante-huit ans. Il me fascinait car je percevais, malgré ma naïveté de puceau, qu’il signifiait une longue expérience du sexe ou de la volupté, peut-être même d’une perversité dont j’ignorais encore tout, hors de la notion elle-même, malheureusement tirée du seul dictionnaire… Cet âge me faisait penser aux forêts d’automne : les plus belles, les plus sensuelles, et je comprenais bien qu’il impliquait chez une femme encore belle et séduisante le désir de profiter encore de plaisirs qui se feraient ensuite plus rares, avant le renoncement de la vieillesse… Mais cessant ...
... de fantasmer sur son âge, je m’intéressais ensuite à son énorme soutien-gorge, dont je vérifiai la taille, et c’était bien du 110 D. J’en admirai la profondeur des bonnets, les fines dentelles, je cherchai l’emplacement où pouvait se loger les bouts de ses seins dont j’avais bien vu chez ma tante, dans la transparence de son chemisier, qu’ils étaient bien saillants. Je fus un peu déçu de ne pas y retrouver l’odeur de ses seins, me contentant de son parfum. Je caressai ses bonnets en imaginant les deux énormes globes, laiteux et un peu tombants, un peu flasques même j’espérais, qui devaient s’y loger. Mais après avoir goûté ces premiers plaisirs à leur juste valeur, il était temps de passer à l’essentiel : sa culotte souillée. Pour adorer ce que je regardais déjà comme un symbole du pouvoir que Madame Liz exerçait dorénavant sur mes sens de puceau, je tombai à genoux devant le lit, à genoux devant une culotte plus précieuse pour moi que le Saint-Sacrement lui-même. Je commençai par m’en caresser le visage, la passant et la repassant sur mes joues, ma bouche et devant mon nez. J’allais à nouveau chercher l’odeur la plus intime de ma Maîtresse au fond de sa merveilleuse culotte, sur l’entrejambe qui avait eu le bonheur d’être en contact avec son sexe, de recueillir les sucs de son vagin, peut-être d’essuyer la mouille de ses lèvres. Il restait quelques poils collés sur le fond de l’entrejambe, un peu jauni par les dernières gouttes d’urine qu’il avait recueillies au-dessus de la ...