Banquière perverse (22)
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
Hétéro
... malice, elle ouvre grand la bouche pour me montrer le résultat de son œuvre ; qu’elle avale d’un seul coup. Comme une furie, elle fonce sur mes lèvres et me roule une galoche d’enfer, bien que j’ai horreur du gout infâme de mon jus, je me sens obligé de partager les restes du produit de mon corps. Après ce moment merveilleux, et entre deux baisers ; elle se déclare : — Je t’aime, mon Amour ! — Moi aussi je t’aime, ma Chérie ! — Et merci, merci pour ce beau moment et merci aussi de m’avoir sortie de cette situation. — Je n’ai fait que ce que je devais faire, rien de plus ; tu sais ! Je t’aime très fort, je lui réponds en la serrant très fort contre moi. — Aïe... Tus me fais mal ! — Pardon mon Amour ! — Pour la peine, tu vas me passer la pommade qu’a prescrite le toubib ? — Bien-sûr... ! Allez tourne-toi que je vois tes jolies fesses ! Elle se positionne sur le ventre et me présente son dos et ses fesses. Je ne les ai pas vraiment vus depuis que je l’ai sortie de la cave, et le spectacle qu’elle m’offre m’horrifie ; son dos et ses fesses sont zébrés de traces rougeâtres et violacées. Mon cœur se serre et sur le coup je regrette que ...
... Lacksimy soit partie, car une terrible envie de vengeance m’envahit ; alors, pour oublier, je pommade le corps de ma douce avec la plus grande délicatesse. J’ai à peine terminé qu’elle dort déjà, alors je termine de la crémer et la recouvre du drap puis, je m’allonge à ses côtés. Elle a dû sentir que je venais de m’allonger car elle vient de s’enrouler sur ma jambe et la tête posée comme à l’habitude dans le creux de mon épaule ; un baiser furtif et la main posée sur mes pectoraux, elle s’endort. Elle est là, endormie tout contre moi, sous doux souffle caresse mon mamelon ; je n’ai pas envie de dormir, alors je pense. Je pense à cette journée, à Lacksimy, à ce qu’il aurait pu se passer si je n’avais pas été là. Cette idée me glace le sang, alors je recherche dans mon esprit le souvenir de cet instant que nous venons de vivre ; je le retrouve intact. Je le revis minute par minute en détail, je bande à nouveau, j’ai encore envie d’elle ; je la secoue un peu pour voir si... Si rien, elle dort. Mais mon action à du réveiller son subconscient car elle me titille le téton, je suis aux anges ; alors je me caresse en pensant toujours à elle. [À suivre]