1. Banquière perverse (22)


    Datte: 13/03/2021, Catégories: Hétéro

    ... silence, les yeux fermés avec de temps en temps de petits spasmes d’un plaisir résiduel encore présent. Nous restons ainsi un long moment, puis je la sens bouger. Elle enroule ses jambes autour des miennes, se redresse et me dépose un baiser rempli d’Amour ; puis une main court sur moi, elle va vite, très vite ; elle attrape presque à la volée un de mes tétons, le tord puis descend vers mon sexe. Elle l’empoigne, le serre, fort et le tord, puis elle presse mes testicules comme des citrons ; elle me fait mal mais je suis aux anges. Elle vient chercher un nouveau baiser qui se transforme rapidement en une joute linguale. Nos langues se mélangent, se cherchent, se poussent et se repoussent. Sans doute rassasiée, elle roule sur moi, et comme je lui ai fait tout à l’heure, sa langue descend jusqu’à mes tétons. Mais elle ne fait pas que les lécher et les sucer, elle les mordille puis les mord vraiment ; j’ondule de bonheur. Maintenant elle remonte un peu sur moi et s’empale sur mon vit ; c’est elle et elle seule qui gère le mouvement. Il est fort, cette fois elle gémit vraiment ; elle bouge comme si elle était sur un cheval sauvage, puis elle crie. Son cri est bref et ses convulsions longues, elle se cramponne à moi ; j’essaie d’imaginer quelle force peut avoir cet orgasme, ses muscles vaginaux se resserrent et elle s’écroule sur mon torse. La pose est courte, car elle se laisse déjà glisser jusqu’à mon bas-ventre et embouche mon sexe ; le plaisir est immense. La douceur de sa ...
    ... langue et de sa salive qui, lorsqu’ils entourent mon gland produit chez moi une quantité incroyable de picotements qui partent de mon membre pour finir à la racine de mes cheveux. Mon plaisir monte de plus en plus. Elle m’aspire, me pompe, me malaxe les couilles et me masturbe. Puis elle force mon vit à entrer au plus profond de sa gorge, elle suffoque un peu, s’agrippe à mes poignets, force ; et je sens mon gland passer l’étroit passage. Mon plaisir devient de plus en plus grand, à cause de l’exigüité du passage ; un peu comme la sodomie mais bien supérieure, à cause de la douceur de la cavité et aussi l’effet un peu pervers de l’acte. Elle applique maintenant un mouvement de va-et-vient que j’adore, puis elle ressort pour revenir encore et encore ; jusqu’à ce que mon gland pénètre presque de lui-même. Alors là, elle reprend le mouvement d’aller et de venue comme si mon sexe se transformait en un piston pour, comme le disent certains : « La baiser par la bouche ! » Chacun appréciera ! Puis du bout des lèvres, elle masturbe mon gland tout en prenant ma tige d’une main et mes valseuses de l’autre, et elle me branle avec force ; en peu de temps, je sens monter en moi les premières pulsions éjaculatoires. De ses mains, elle enserre mon gland et presse mes testicules tout en m’astiquant la tige avec force. D’un coup, mon sperme sort par jets longs et puissants, inondant sa bouche et provoquant en moi un immense plaisir. Elle se redresse et me regarde avec des yeux pétillants de ...
«12...4567»