Sale journée
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
complexe,
bizarre,
Collègues / Travail
toilettes,
humilié(e),
cérébral,
massage,
facial,
Oral
fdanus,
humour,
amourdram,
... au-dessus du vide, retenue uniquement par une mâchoire sur mon sein meurtri et un doigt étranger touillant les fluides de mon rectum jusqu’à transformer toutes mes entrailles en pulpe de pur plaisir. J’étais devenue un être de lumière. Je crois que je hurlais. Et puis soudain, plus rien. Le noir. Une perte de conscience d’environ trente secondes. Quand je rouvris les yeux, mon cœur battait vite et j’étais trempée de sueur. Léa aussi avait chaud. Je posai mes mains sur ses joues et l’embrassai avec une passion sincère. Elle m’avait donné le plus bel orgasme de ma vie. Je ne voulais plus la quitter. Tant pis pour le social, les relations, le travail. J’avais vu la Lumière. Plus je regardais Léa, plus je sentais que je tombais amoureuse. Plus qu’un amour, c’était une vénération, une sorte de foi païenne et primitive pour cette homérique amazone, divinité androgyne et ambiguë de l’Amour et de la Guerre. Je me serrais contre le corps de ma déesse. Elle était heureuse aussi, mais la tension qui l’agitait encore me rappela que je lui devais quelque chose. Je la fis alors rouler sur le lit pour me placer au-dessus d’elle. J’attrapai ses poignets et je les plaquai sur le matelas, de part et d’autre de l’oreiller. Elle se laissa faire en souriant. Je déposai d’abord un doux baiser sur sa bouche, puis sur chacun de ses seins. Après quelques légers effleurements, je laissai lentement glisser ma langue sur toute la peau de sa poitrine. Les petits tétons étaient étonnamment sensibles et se ...
... dressèrent dès le premier contact. Je les pourléchai en me régalant autant du goût salé de sa peau que des attendrissants soupirs qu’elle laissait échapper. Je frottais ma joue contre ses abdominaux fermes. J’éprouvais la douceur de la peau de son ventre avec la frange de mes lèvres. Quand ma bouche se posa sous son nombril, je laissai mon menton s’enfoncer dans la motte de poils drus qui poussaient au confluent de ses cuisses. Lentement, je m’en confectionnai une barbe de mollah, accolant enfin ma bouche au petit monticule odorant. C’était de l’idolâtrie et j’étais prête à tous les sacrifices. Elle écarta ses cuisses en grand, révélant l’autel où déposer mon offrande. N’étant pas complètement gourde, j’avais une idée assez nette du programme de la cérémonie, mais mon inexpérience ne me permettait pas d’anticiper les nuances du protocole. Je ne pouvais m’en remettre qu’à mon instinct pour ne pas passer pour une novice maladroite. Du bout de ma langue, je démêlai ses poils du mieux que je pus et les plaquai de part et d’autre en une sorte de « raie au milieu » gominée de salive. Au centre brillait une perle rose, encore prisonnière des lèvres d’un petit mollusque palpitant. Je la gobai. Quand je la fis rouler sous ma langue, Léa poussa un petit cri de contentement. Je me mis alors à laper comme une jeune chienne. Parfois, je tendais ma langue jusqu’à ce qu’elle me fasse mal pour sonder sa source au plus profond, là où le goût était fort. J’avais du jus plein la figure mais je ...