Les pièges de l'amitié amoureuse
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
amourdura,
L’histoire commence d’une manière terriblement banale, dans une cafétéria, au moment du repas de midi, à cette différence près que nous sommes dans une université, que j’y suis prof et qu’elle est une étudiante qui suit mes cours et qui, d’ailleurs, n’est pas particulièrement douée. Pour une fois, elle n’est pas avec ses camarades, je pose mon plateau à côté du sien et nous bavardons de choses assez insignifiantes. Nous prendrons l’habitude de nous retrouver au même endroit plusieurs fois par semaine. Elle a 22 ans, grande, blonde, cheveux tombant sur les épaules, maigrichonne, d’une minceur telle qu’elle en a de terribles complexes. Avec cela, un visage très clair aux traits minces. Le genre vierge timide, pas du tout sensuel et même prude. Mais je m’imagine que si elle paraît timide, il y a toutes les chances pour qu’à 22 ans, elle ait eu une ou plusieurs expériences sexuelles. Ce qu’il y a aussi de particulier, c’est que chacun de notre côté, nous avons vécu une déception amoureuse. Les confidences vont remplacer peu à peu les banalités qui alimentent d’ordinaire ce genre de situation. Je vais essayer de rendre un peu de l’atmosphère des premières confidences de Claudine. — J’ai, et j’ai toujours eu, des complexes parce que je suis si grande et si maigre et je ne pouvais pas imaginer qu’un garçon s’intéresse à moi, même si j’ai parfois reçu des propositions assez directes, assez dégoûtantes. C’est vrai, j’ai eu un flirt dans mon adolescence mais ce n’est pas allé loin. ...
... Juste des baisers. Et puis j’ai eu un moniteur de sport (jujitsu), un homme d’une quarantaine d’années qui ne s’entendait plus avec sa femme et qui était en train de se séparer d’elle. Il me raccompagnait en voiture car la salle de sport se trouvait en banlieue et que nous habitions tous les deux dans le centre-ville. Ça a commencé avec quelques baisers et quelques caresses au moment de nous quitter. Je n’étais pas amoureuse mais j’avais envie, il m’a vraiment donné envie. J’habitais à l’époque à la cité universitaire et il n’était pas question de le recevoir dans ma chambre à cause des voisins et je suis donc allée chez lui. Nous avons fait l’amour. Avec le temps, nous sommes devenus amoureux et nous avons fini par déménager ensemble. Nous avons aussi fait de la voile l’été car il avait un beau voilier. Le problème c’est qu’il n’avait pas seulement une femme mais aussi des enfants et qu’il culpabilisait terriblement. Les enfants – il en avait deux – lui manquaient et il leur manquait. Le résultat est qu’il a dû faire un choix et qu’il est finalement revenu chez sa femme et qu’il m’a laissée tomber.— Ça fait longtemps ?— Oui, ça fait plusieurs mois, mais je suis toujours sous le choc. Pour moi c’est bien fini ce genre de situation où cela finit mal. Ces confidences ne m’ont pas été faites d’un seul coup, mais par séquences et je résume ici. Elle parlait simplement, en toute confidence et je lui ai raconté à mon tour une expérience lamentable dont je savais à l’avance qu’elle se ...