Les pièges de l'amitié amoureuse
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
amourdura,
... y en eu d’autres, des copains de la Cité universitaire. Ils font ça comme des lapins, ils sont pressés de rentrer et de se vider. Et moi, j’ai besoin de temps…— Tu ne m’as pas parlé des autres ?— Eh bien oui, après ma déception amoureuse, je me suis consolée avec des copains ou des voisins de la Cité. On a des fêtes des fois le week-end. C’est rien de sérieux, une manière de finir la soirée, quoi ! Et puis quand on a bu un coup de trop, on ne sait plus trop ce qu’on fait. Je te choque ? — Non, mais je suis surpris. Il y en eu d’autres de mon âge ?— Eh bien il faut que je te dise, oui, il y un ami de mon ex qui m’a beaucoup aidé quand je me suis retrouvée seule. Je lui suis reconnaissante.— Tu as couché avec lui ?— Oui, mais il est marié, lui et sa femme est très jalouse. Alors il faut être prudent. Il a les moyens et nous allons à l’hôtel et des fois, il m’invite en vacances, c’est un homme d’affaires.— Dis-moi, c’est au passé ou au présent ?— C’est rare mais ça arrive de temps en temps. Mais je ne suis pas amoureuse de lui, ni lui non plus d’ailleurs. Mais il est très gentil. La fois suivante où nous nous sommes retrouvés pour une nuit d’amour sans préparatifs particuliers, j’ai compris pourquoi elle avait besoin d’être préparée : à froid, les lèvres de sa chatte étaient parfaitement jointes et ne se dilataient largement qu’après de nombreuses caresses en tout genre et Claudine m’a montré tranquillement ce qu’elle aimait. Et puis le jeu des questions et des réponses ...
... intimes est devenu un atout essentiel de notre orgasme. C’est ainsi que j’ai appris que le premier amant de Claudine était stérile et qu’ils n’avaient pas eu besoin de prendre de précautions. — Et avec son copain ?— C’est différent. Nous avons pratiqué le coït interrompu mais c’est un peu dangereux.— Autrement, c’est toujours avec des préservatifs ?— Oui. Je me sentais un peu jaloux de cet homme qui l’avait dépucelée, qui l’avait initiée et qui en plus l’avait pénétrée et inondée. — Tu l’as revu après la rupture ?— Oui, et j’ai baisé aussi avec lui, si tu veux savoir.— Et son copain, tu le vois aussi ?— Je te l’ai dit, ça arrive.— Il baise bien ? Tu as un rendez-vous ?— Tu es jaloux ?— Je ne sais pas, mais ce que tu me racontes, m’excite. Je n’avais aucune raison objective d’être jaloux des aventures passées, présentes ou à venir de Claudine. Je désirais une jeune fille libre, facile et j’avais l’amante idéale. Mais l’idée de la savoir disponible m’obsédait d’une autre manière. Et s’y ajoutait encore le fait de sa sexualité débridée jointe à son air de vierge timide, ensemble dont elle savait jouer et particulièrement avec des hommes mûrs. — Tu veux savoir s’il baise bien ? Eh bien oui, il baise même très bien. Et je le vois jeudi prochain. Ce fut le début d’une relation sexuelle d’une qualité particulière, d’une jalousie vécue comme une souffrance, et d’une souffrance vécue comme une jouissance extraordinaire. Et qui aurait pu prévoir qu’un jour l’amour nous joindrait plus ...