1. Les pièges de l'amitié amoureuse


    Datte: 21/03/2021, Catégories: fh, hplusag, cocus, profélève, intermast, Oral préservati, pénétratio, confession, amourdura,

    ... Attends. Elle se relève, rejoint la pièce voisine, farfouille dans son sac : — Tiens, Michel. Après, cela devient insupportable, elle m’accueille sur le dos les genoux relevés, bien écartée. Sa toison est dense, bouclée, drue et contraste avec la blancheur virginale de la peau et, lorsque j’allume la lampe de chevet, je vois que la couleur du poil est d’un blond plus foncé que celui de sa chevelure. Dans l’excitation, je dirige la verge qui s’embrouille dans le poil mouillé, Claudine me souffle : — Laisse-moi faire. Elle relève un peu la tête, prend ma verge et la guide. Nos corps s’agitent, nos ventres en sueur claquent l’un contre l’autre. Elle sent que je vais venir, bloque ses hanches contre les miennes et me dit : — Attends, pas trop vite. Je reprends donc en douceur, je suis son propre rythme. Son sexe est un océan de chairs molles. Je la sens venir, au rythme de plus en plus heurté du pubis, ses yeux sont grand ouverts, et des mots sortent de sa bouche : — C’est bon, j’aime ça. Et puis : — Viens, donne-moi, baise-moi ! Je me libère, j’explose. Je la baise. Claudine est merveilleusement femme. Et elle va encore me le prouver pendant cette même nuit. Elle, la jeune fille, veut se montrer à la hauteur de son amant mûr, qu’elle sait y faire, qu’elle a reçu une éducation sexuelle convenable. La seconde fois, c’est elle qui va prendre l’initiative, elle glisse sa tête entre mes jambes, décalotte la verge et me suce avec application jusqu’à ce que mon membre retrouve sa ...
    ... dureté. Spectacle extraordinaire de cette bouche finement ourlée, distendue, cette peau diaphane du visage, la veine bleue qui bat à sa tempe, les cheveux blonds épars et son regard tranquille qui me fixe comme en défi. Et puis elle me coiffe le membre d’un préservatif d’une manière experte qui montre que ce n’est pas la première fois, m’enfourche, me monte, m’entraîne à son propre rythme, nos toisons mêlent leur couleurs. Au moment de l’orgasme, elle s’abat contre moi, convulsive, j’empoigne ses fesses et la serre très fort contre moi. Le sommeil nous a engloutis et ce n’est que le matin, au moment du réveil, que nous avons glissé l’un dans l’autre, mais sans le désordre de nos deux premiers échanges. À partir de ce premier épisode, notre relation a connu une évolution singulière, avant tout parce que les confidences de Claudine, qui au départ se faisaient dans le cadre d’une bonne amitié, sont devenues un élément central de notre relation. Elle avait compris que ce jeu double et trouble de la fausse innocence, jouait un rôle central dans la jouissance sexuelle. Je sais, c’est une vieille histoire, mais elle me l’a fait vivre d’une manière extrêmement raffinée et provocante. Cela a commencé au petit déjeuner, quand je lui ai demandé pourquoi elle m’avait choisi, moi, comme amant, un homme mûr, au lieu d’un homme de son âge. — Tu sais avec qui j’ai eu ma première expérience, n’est-ce pas ? Et que j’ai préféré un homme mûr parce que j’avais peur d’avoir mal ? Eh bien après lui, il ...