Les pièges de l'amitié amoureuse
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
cocus,
profélève,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
amourdura,
... terminerait tout aussi durement. La seconde phase de notre histoire, c’est au fond quand j’ai commencé à la regarder d’une autre manière. Disons-le franchement, je me suis dit que je pourrais bien coucher avec elle. Elle n’était pas maigre pour moi, mais plutôt mince, avec des hanches bien marquées, le ventre plat et des seins de la taille de balles de tennis et tout aussi ronds, elle ne portait pas de soutien-gorge sous son teeshirt. Pour le reste, j’imaginais la forme des cuisses, le dessin des fesses, la fermeté des chairs, la forme et l’ouverture de la chatte, la toison. Le rapport prof-étudiantes s’était effacé devant notre degré de confidentialité : nous étions amis, avec cependant cette coloration trouble que procure l’amitié entre les deux sexes. Le passage de la simple amitié à la relation sexuelle s’est effectué en douceur. Je l’ai invitée chez moi, nous avons fait la cuisine ensemble, bu un bon vin et elle a glissé dans mes bras alors que nous étions assis sur le sofa. Elle portait d’ordinaire des jeans mais pour cette occasion, elle avait mis une robe ample, sage et légère, nous étions à la fin du printemps, la saison des amours. Ma main a effleuré la poitrine, j’ai déboutonné le haut et glissé ma main. Les seins étaient ronds et fermes comme je les avais imaginés et la pointe fine durcissait sous le massage de mon pouce. Elle se tenait sagement dans mes bras, la tête renversée, la bouche grande ouverte, comme une jeune fille vivant son premier flirt et ...
... feignant d’ignorer la main qui, à présent, passait sous le tissu de la robe, lissait le genou et progressait doucement sur la minceur des cuisses qu’elle gardait à peine entr’ouvertes, suffisamment tout de même pour que mon index vienne buter sur le tissu de la culotte. Elle gardait les yeux fermés et son visage rosissait, le bleu d’une veine battait à sa tempe. Elle était adorable avec son air de rien, avec les seins émergeant du tissu de la robe, et la robe remontée sur ses cuisses à mesure que ma main progressait. Je ne savais pas tout de son expérience sexuelle à ce moment, mais je savais qu’elle avait eu un amant, qu’elle avait partagé avec lui son lit, qu’il l’avait pénétrée des dizaines de fois et peut-être plus, que ses mains étaient familières des moindres recoins de son corps, qu’elle était femme enfin. Claudine a sursauté quand mon index est passé sous la couture de la culotte, sa respiration est devenue plus forte, j’ai plaqué la main tout entière dans l’entrejambe. Et elle a gémi un peu, gardant toujours les yeux fermés, son sexe était ouvert, d’une béance indécente, trempé, la toison trempée aussi. Elle a alors brutalement serré les cuisses, pris ma main dans la mienne et m’a dit : viens ! Nous avons cherché le confort d’un vrai lit dans la pénombre ambiante. Elle s’est déshabillée, son corps blanc luisait dans le demi-jour. Corps à corps, ventre à ventre, ma verge plaquée contre sa peau. — Tu as un préservatif ?— Non, zut alors.— C’est pas grave, j’ai ce qu’il faut. ...