La bourgeoise et le danseur
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... littéralement, la dépouillant de ses vêtements et de ses dessous je procédais à cette inspection dont je rêvais. Je découvris les suçons dans le cou, sur les seins, les griffures, tout je découvris tout! Je caressais frénétiquement son corps fatigué d'avoir déjà trop baisé, ses seins mainte fois malaxés par Gille, je glissais ma main entre ses cuisses, je trouvais son sexe dont les lèvres n'avaient pas eues le temps de se refermer et qui suintait un mélange de cyprine et de sperme. Mes doigts nageaient dans un liquide visqueux baignant son vagin. Elle gémissait, elle me suppliait, me disait qu'elle était fatiguée, rien n'y faisait, son corps m'inspirait, je l'explorais dans sa plus extrême intimité. En fin de compte je fus pris d'une sorte de rage folle, je la tournais sur le flanc et venant derrière elle je lui imposais une sodomie. Michelle geignit, protesta, se tortilla mais je la tins fermement jusqu'à ce que ma queue força son sphincter et lui envahit le ventre. Je poussais furieusement mon dard dans son cul et je la limais profondément jusqu'à ce que je lâche en elle un flot trop longtemps retenu de sperme brûlant. Pendant le temps que dura cette séance, elle geignit, essaya de se soustraire, elle appela même sa mère mais je la forçais à garder mon membre en elle. Quand elle se tourna vers moi ; je vis qu'elle avait pleuré et j'eus honte de moi mais c'était plus fort que ma raison. Nous ne sommes pas retourné au Balajo la semaine suivante, les vacances finies, les ...
... enfants de retour à la maison nous n'avions plus notre liberté de mouvement. Pourtant je découvris que Michelle avait revu Gille suite à ce Dimanche torride vécu chez lui. En effet, elle avait quelque facilité à se dérober à son travail et elle courrait chez lui le rejoindre. Ils passaient ainsi une heure ou deux où ils faisaient l'amour de la façon la plus sauvage car elle était devenue folle de lui et acceptait tout ce qu'il voulait. L'heureux homme! Comment ai-je découvert ça? Le soupçon, toujours lui. Je connaissais trop ma femme, quand elle rentrait le soir fourbue et qu'elle manquait de patience avec les enfants je comprenais fort bien pourquoi. Aussi, un jour je mis au point un stratagème, je guettais le jour ou elle mettais ses plus beaux dessous, je savais qu'elle allait se faire baiser ces jours la. Généralement le lundi et le jeudi, et je me trompais rarement. Un lundi donc, je décidais de la suivre, ou plutôt de la précéder. Vers la mi journée, j'allais monter une planque devant l'immeuble de Gille, tout en restant discret, j'attendis environ une heure avant que je ne la vois arriver. Elle semblait pressée, elle composa le code sur le digicode et s'engouffra dans le hall. J'avais ma preuve, elle venait se faire prendre chez Gille où elle passait l'après midi. Le soir elle rentrait lasse, comme chaque lundi. Quand j'inspectais le fond sa culotte, j'y trouvais d'autres preuves, mais en avais je vraiment besoin? Le manège se poursuivit jusqu'à l'été. Et puis les enfants ...