1. La bourgeoise et le danseur


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... une minute et puis il se relâcha d'un coup, il poussa un cri de bête et tout son corps tressaillit tandis que sous lui, Michelle gémissait, pleurait, criant elle aussi une jouissance absolue. Ils s'effondrèrent ensemble l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, unis et repus, ailleurs, dans leur monde, inconscient de ma personne qui les voyait ainsi. Elle enserra ses reins entre ses cuisses pour le retenir et ils bougèrent plus. Sans bruit je me reculais, la gorge sèche, je refis le couloir à reculons jusqu'au salon, les laissant sur le lit loin de tout. Je me plongeais dans la contemplation du boulevard, six étages plus bas avec ses passants écrasés pas l'ennui du Dimanche. S'ils avaient pu imaginer ce qui se passait six étages au dessus de leurs têtes! De nouveaux gémissements me parvenaient de la chambre, je n'eus pas courage ou alors est ce la pudeur, je les laissais à leur intimité torride. Michelle criait encore, le lit grinçait en rythme quand j'entendais monter leur orgasme dans le crescendo des gémissements qui me parvenaient. Elle hurla littéralement quand il jouit pour la seconde fois en elle. J'imaginais son sperme envahir le vagin déjà inondé et couler les cuisses lisses de ma femme. Cette fois je bandais, la devant la fenêtre. Il se passa un certain temps avant que je les vis revenir, Gille parfaitement détendu dans son peignoir de soie et ma femme rhabillée mais quelque peu fripée dans sa robe mal ajustée sur elle. Elle évita mon regard feignant de regarder ...
    ... ailleurs, les joues rouges. Le maquillage était à la dérive, on aurait dit qu'elle sortait d'un pugila, le rimmel coulant aux coins de ses yeux. Gille parla de choses et d'autres, très décontracté, je lui répondais sur le ton d'une conversation très urbaine. Finalement j'avais hâte de m'en aller, retrouver avec Michelle une intimité et l'interroger, la griffe de la jalousie refaisait surface quelque part dans mon corps. Enfin nous primes congé de Gille non sans nous donner rendez vous bientôt. A nouveau le petit ascenseur exigu, nous nous touchons, elle a encore sur elle l'odeur du male qui vient de la prendre, je hume ses cheveux plus ou moins défaits, j'ai envie de la toucher, de la peloter mais je me retiens, je n'ose pas retoucher ce corps qui la, sur l'instant ne m'appartient plus. Dans la voiture je lui pose des questions sur Gille, si elle a aimé cette séance, elle est évasive, visiblement elle ne veut pas en parler ni donner de détails. Elle semble encore une fois ailleurs, elle semble être restée là-haut dans l'appartement de son amant. Moi je suis franchement excité, il me tarde rentrer j'ai envie d'elle, explorer ce corps qui fut livré à un autre, retrouver les traces éventuelle qu'il aurait pu lui faire, ses marques à lui : des suçons dans le cou ou sur les seins, des griffures sur les cuisses, ce genre de vestiges. A peine la porte de notre appartement refermé, je lui sautais dessus et je l'entraînais dans notre chambre malgré ses protestations et la je la violais ...
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