1. La bourgeoise et le danseur


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... loges pour voir comment sa main longue et fine caressait le tissu de sa jupe, allant du haut de la cuisse au genou, tout ça le plus naturellement du monde dans le fil d'une conversation de salon. Il se tourna vers moi se redressant un peu pour me regarder et me demander ce que je faisais dans la vie. Je vis par la même occasion ses doigts se glisser sous la jupe de ma femme qui ne bougea pas d'un cil quand la main remonta sous l'étoffe. Je tachais de répondre avec le plus de naturel possible, sans trop regarder ce que faisait cette main sous la jupe de mon épouse. Cependant elle remontait le long de la cuisse, dénudant sa peau entraînant le tissu toujours plus haut. Elle avait la cuisse gauche dénudée et la droite aussi maintenant. Je repris une gorgée dans mon verre tant j'avais la gorge sèche. Gille me parlait toujours avec naturel, me posant des questions sur mes activités tandis qu'il caressait la cuisse de Michelle, massant du genou au haut de la cuisse de plus en plus ouvertement. Il me donna des précisions sur ses propres activités tandis qu'il forçait l'entrecuisse de mon épouse. Celle-ci ne disait rien, tétanisée me semble t il par l'érotisme de la situation et excitée par la main chaude qui la découvrait. Quand la main de Gille atteignit le haut de ses cuisses, je la vis, un brin hébété, écarter les jambes et se livrer aux caresses intimes d'une main qu'elle ne connaissait pas deux heures plus tôt! Gille parlait, parlait, sa main active caressant toujours. Soudain ...
    ... ma femme eut un spasme et se raidit. Gille s'arrêta de parler, il la regarda en souriant, toujours ce sourire si chaud qui avait su la séduire. « Il semble que votre femme apprécie les caresses! » Me dit il. « Au fait quel est son prénom? » « Michelle » Arrivais je à bégayer en regardant ma femme vautrée sur le canapé, la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte dans une posture que je ne lui connaissais pas. J'étais réellement fasciné par la situation. Gille me sourit. « Elle semble réceptive aux caresses. » Je ne répondis rien, trop accaparé à voir Michelle abandonné, cuisses ouvertes, jupe troussé, réceptive aux caresses de doigts qui massait son collant à l'endroit de sa fente. Gille l'entoura de son bras et instinctivement elle se laissa aller sur lui les yeux clos. Il prit une position plu confortable et son autre main atteignit le sein de Michelle. Il se mit à lui palper le sein à travers le corsage pendant que son autre main continuait à explorer son entre cuisses. Elle s'abandonnait dans des râles incontrôlés, gémissant comme jamais je ne l'avais vu faire, la respiration saccadée. J'étais fasciné, comme hypnotisé par la scène. Soudain Gille ma dit : « Dans la chambre nous serions plus à notre aise, venez. » Se mettant debout il tendit les mains à ma femme qui s'accrocha à lui pour se remettre debout à son tour et le suivre jusque dans la chambre. Arrivé la, Gille la prit dans ses bras pour l'embrasser à pleine bouche, elle pantelante entre ses bras. Il en profita ...
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