La bourgeoise et le danseur
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pour défaire le zip de sa jupe qui tomba comme un fruit mur. Ensuite il s'occupa du corsage qui chut sur la moquette à son tour. Il me regarda et me prenant à témoin il me dit : « Je n'aime décidément pas les collants! On a l'impression de dépiauter un lapin, regardez ça, il n'y a pas d'érotisme dans un collant! » Je grognais je ne sais quoi tout le regardant dépouiller ma femme de son collant. Sans plus attendre il dégrafa le soutien gorge et fit glisser la culotte à terre. Je regardais la tache noire de la culotte sur la moquette tandis qu'ils basculaient tous les deux sur le lit. Je restais dans l'embrasure de la porte, incapable d'un geste, trop pris par ce qui se produisait sous mes yeux, incapable de raisonner, sans ressentir quoi que se soit, ni culpabilité, ni jalousie, ni révolte, les évènements étaient allés trop vite. Sur le lit Gille caressait le corps de Michelle, il pelotait ses seins que je voyais durcir sous ses paumes et explorait l'entrecuisse offert à ses doigts fins qui ouvraient les chairs de mon épouse. Il doigtait son vagin, lui tirant des plaintes, il l'embrassait à pleine bouche, leurs langues se mêlant en de savantes arabesques. Le manège dura, dura, je crois bien que Michelle en eut un orgasme avant même qu'il vint sur elle et la chevaucha. Je vis son sexe que je jugeais plus gros que le mien qui battait l'air à la façon d'un pendule, et puis il s'écrasa sur elle et son membre s'imprima sur son ventre. Il eut quelques mouvements, sa main disparut ...
... entre leurs corps, elle avait les cuisses ouvertes, il la regardait dans les yeux et il donna un coup de reins tandis qu'elle se raidit en poussant un gémissement de fauve qui me surprit. Elle était tendue comme un arc, il la maintenait fermement sous lui, assurant sa prise et fourrant au plus profond de son vagin un membre dur et palpitant. Il la saisit aux épaules pour mieux la maintenir sous lui, je vis ses reins aller et venir, chercher encore de la profondeur et les cuisses de Michelle panteler comme une poupée déglinguée. Puis il besogna sa prise, lentement, posément d'abord, en guettant ses moindres tressaillements, ses moindres gémissements, ses plaintes. Il donna des coups de reins plus puissant quand il fut sur de la posséder entièrement, elle réagit en criant plus fort, j'avais l'impression d'entendre des cris de douleur, j'étais transformé en statue de sel, paralysé de mes membres, ne bandant même pas, je les voyais unis sur ce lit, enlacés ne formant qu'un. Il la pinait posément, à coups de bite réguliers qui lui arrachaient des sanglots de jouissance, je ne la reconnaissais pas, je découvrais ma femme dans le plaisir du coït absolu, on aurait dit les douleurs de l'enfantement, les cris de la parturiente et les grimaces aussi. Gille la baisait comme un dieu, sans relâcher son effort, je le voyais transpirant sous l'effort, grimaçant parfois, son regard devint dur, ses reins s'affolèrent et l'amplitude de ses coups de bite augmenta, il serra les dents encore pendant ...