1. Fleur, véto, conte florès


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, ff, grp, cocus, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, couple,

    ... faire. Ce n’est plus ma femme. Je suis perdu.— Tu es surtout sous le choc, Imanol. Ne fais rien que tu regretterais ensuite. Il s’est mis à pleurer, la tête dans les mains. Pendant toute cette conversation, j’étais restée assise face à lui, avec entre nous son bureau. Je me suis levée pour le prendre dans mes bras et le consoler. Il m’a serrée tellement fort, comme un enfant le ferait avec sa mère. J’ai caressé ses cheveux et ses joues, embrassé ses larmes, essayant de garder un petit sourire rassurant. Ce qu’il venait de me raconter m’avait dégoûtée au début, puis je l’avais écouté en oubliant tout jugement de valeur, recevant les faits sans en tirer quelque conséquence que ce soit. Quand il m’avait raconté comment cette fille squelettique lui avait caressé le sexe, le dégoût avait totalement disparu. Je me suis vue, à l’époque de nos études, me laisser aller à faire la même chose. Toucher sa virilité, éprouver sa rigidité, faire aller et venir ma main sur son membre, lui donner du plaisir. J’ai lutté contre ces images sans pouvoir les éliminer. Assise sur ses genoux, sa tête contre mon épaule, ses larmes qui mouillaient ma joue et mon cou, son odeur qui envahissait mes narines, la détresse qu’il éprouvait, la proximité encore plus grande entre nous maintenant qu’il m’avait confié ses secrets, tout ça m’avait chamboulée. J’ai passé ma main dans sa chemise pour toucher son torse. Quand j’ai senti un téton sous mes doigts je n’ai pas pu m’empêcher de le titiller, sans ...
    ... penser à rien, juste parce que l’envie venait de me prendre de le faire. À l’envie subtile a succédé une frénésie, une tentation brutale. Je l’ai pincé, et j’ai goûté ses lèvres qu’il gardait serrées. Je les ai mouillées de ma salive, puis il a senti ma langue tenter une entrée. La sienne est venue la rejoindre et nous nous sommes embrassés. J’en avais eu tellement envie sans oser me l’avouer, il y avait vingt ans. J’ai léché ses larmes salées en sentant ses mains découvrir mon buste. Nous nous sommes enflammés. J’ai compris que lui aussi en avait eu envie naguère, et quand mes fesses ont enfin connu ses mains, c’est tout mon corps qui l’a réclamé. Je me suis retrouvée avec la jupe remontée, la culotte écartée, et son membre viril au fond de moi, comme planté pour toujours. Nous avons fait l’amour avec une infinie tendresse, lentement, profondément. Plusieurs orgasmes m’ont surprise, à la fois par leur proximité et par leur force. J’aurais voulu rester ainsi sur son sexe, nos peaux collées, nos lèvres jointes, pour l’éternité. J’ai tout oublié de ma vie quand sa langue m’a envahi la vulve, quand ses doigts ont fouillé mon cul, quand à genoux derrière moi il m’a prise avec fougue, quand j’ai senti sa semence couler le long de mes cuisses. Je l’ai sucé pour lui redonner de la vigueur, j’avais encore envie de lui. Nos ébats sont devenus de moins en moins tendres. Il m’a secouée. J’ai adoré ça. Sa force et sa virilité plutôt que ses larmes. Il s’est délesté de toute sa hargne en me ...
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