Fleur, véto, conte florès
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
cocus,
sauna,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
couple,
... baisant et je dois dire qu’à ce moment-là, c’est exactement ce dont j’avais envie. Je ne voulais pas qu’il continue de me respecter, je voulais qu’il me défonce. Ce n’était pas une aventure, juste un écart, un tout petit écart, que j’ai voulu m’empresser de me pardonner en repartant. Après tout, me suis-je dit pour me rassurer, mon mari avait peut-être lui aussi profité d’une occasion quelconque pour se faire plaisir. Il n’était pas question de sentiments, juste de folie. J’avais encore des frissons en conduisant. Il me tardait de rentrer, de me doucher, de me pardonner pour de bon. En arrivant au péage à la sortie de Biarritz, j’ai senti une présence sur le côté gauche de ma voiture. Machinalement, j’ai tourné la tête. Un motard, tout vêtu de noir, me regardait avec insistance. J’ai relevé ma vitre. Sur le moment j’ai eu peur d’une agression et j’ai failli paniquer. Mais rapidement j’ai reconnu le compteur de la moto. C’était l’enquêteur qui avait suivi Marion. Que me voulait-il, pourquoi était-il là ? Il m’a fait signe de le suivre et a passé le péage avant moi. J’ai hésité. Faire demi-tour, le suivre, ou chercher à fuir. Il avait dû voir le sang me monter au visage devant la barrière. La panique devait être lisible sur mon visage. J’ai décidé de le suivre. Sur l’autoroute, je ne risquais rien. Il a mis son clignotant pour s’arrêter à la première aire de repos. Je me suis arrêtée derrière lui, gardant le moteur en marche pour repartir à la hâte au cas où. Il a quitté son ...
... casque et s’est présenté côté passager. Sans un mot. Sans un signe. Il a frappé à la vitre. Je l’ai laissé monter. — Que me voulez-vous ?— Bonjour Madame.— Bonjour. Que me voulez-vous ?— Votre mari m’a demandé de vous suivre.— Vraiment ?— Oui vraiment.— Et alors ?— Alors j’aime bien votre mari. Je bosse souvent pour lui. Il me paie bien. Il me donne pas mal de taf, et il est réglo.— Et alors ?— Alors si je lui montre ça, je ne suis pas sûr qu’il s’en remette. L’homme a sorti son appareil photo de l’intérieur de son blouson, l’a mis en marche, puis a fait s’afficher la première photo. — Appuyez à cet endroit pour voir les suivantes. J’ai saisi l’appareil, tétanisée. Sur le premier cliché, on me voyait de profil face au bureau d’Imanol, occupée à discuter. Puis on me voyait m’approcher de lui, m’asseoir sur ses genoux, l’embrasser, le déshabiller, lécher son sexe, l’introduire dans ma vulve, me serrer contre lui alors qu’il me pénètre en me tenant par les fesses… J’ai détourné mes yeux en laissant l’appareil reposer sur mes genoux. Les larmes sont arrivées brutalement. J’étais proche de la crise de nerfs. — Regardez les autres, s’il vous plaît. Il a saisi ma main pour m’obliger à remonter l’appareil, mais je n’étais capable d’aucun geste. Alors il m’a fait défiler les photos devant les yeux, une à une. Des photos presque vivantes, montrant la débauche, les émotions, les sexes en fusion. Il ne manquait que les odeurs et les cris pour traduire l’intensité pourtant manifeste de ces ...