1. Evy... collègue troublante


    Datte: 27/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail jeu,

    Elle arriva dans une robe d’été grenat toute simple, à fine bretelles, et des tongs aux pieds. Même si la tenue était en elle-même très sage, c’était tout de même un choc car Evy avait l’habitude de TOUJOURS venir en jeans au travail. C’est d’ailleurs un des surnoms que lui avait donnés son boss :« Miss jeans ». Il avait essayé de lui imposer des tenues plus habillées, notamment lorsqu’elle devait aller avec lui en clientèle, mais elle répondait toujours : « Si tu veux du tailleur, tu n’as qu’à y aller avec la commerciale. Moi je suis graphiste, je m’habille en jeans ». Et elle n’avait jamais dérogé à cette règle. Elle avait juste fait l’effort de mettre un jeans noir désormais lorsqu’elle devait voir un client… Du coup, la voir en robe à la place du sempiternel jeans/tee-shirt me fit tout bizarre. En fait, c’était bel et bien une femme. Je souris à cette dernière pensée un peu idiote et elle me capta direct : — Qu’est-ce qui te fait sourire comme ça ? Forcément, je ne pouvais rien lui dire et, penaud, je bredouillais un « rien, rien » qui lui dessina sur les lèvres un petit rictus amusé à me demander si elle n’avait pas lu dans mes pensées. Mais bon, avec une telle tenue, et partant du principe que j’étais un homme, je pense qu’elle devait bien en avoir une petite idée… Bref, étant arrivé un peu plus tôt, j’avais fait couler le café et nous commençâmes, comme d’habitude, par boire une tasse ensemble avant de nous lancer. Pour la faire courte, mais pour poser tout de même le ...
    ... décor, Evy et moi sommes graphistes dans une« agence de pub », comme on dit. Un gros budget était sur le point d’être gagné. Comme d’habitude, nos supérieurs avaient décidé à l’arraché de se porter candidats à l’appel d’offre et, comme d’habitude, ce sont les graphistes qui, en bout de chaîne, trinquaient : volontaires désignés pour venir travailler samedi voire dimanche pour boucler le dossier qui était à envoyer lundi matin. Comme d’habitude, lorsque nous prenons le café du matin en équipe, elle prit possession de« sa » place et posa ses fesses, mi-assise mi-debout, sur un coin de la table de réunion. Moi, debout, en face d’elle, j’écoutais ce qu’elle racontait. En fait non, je n’écoutais pas, et je n’ai absolument aucune idée de ce qu’elle racontait : j’essayai le plus discrètement possible de faire le point sur sa tenue… et sur ce qu’elle dévoilait. La robe s’arrêtait mi-cuisses, et je dois avouer que je ne l’imaginais pas avec de telles jambes : assez musclées pour ce que je pouvais voir des cuisses, et des chevilles très fines qui donnait au global une allure assez élancée… silhouette difficilement imaginable dans ses jeans toujours trop larges et trop longs. Je remontai un peu et constatai que le tissu, fluide comme de la soie, était assez tendu au niveau de la poitrine. Sa robe, sans la mouler, était tout de même près du corps. À nouveau, une silhouette qui n’avait rien à voir avec celle qu’elle offrait habituellement dans ses tee-shirts déformés par les lavages. Sans ...
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