1. Evy... collègue troublante


    Datte: 27/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail jeu,

    ... journée :Avait-elle ou non un soutien-gorge ? Et là, je dois dire que j’ai eu à la fois la réponse à ma question et une demi-érection spontanée : deux tétons pointaient sans vergogne sous le tissu grenat. Ça se bousculait dans ma tête : à la fois j’avais ma réponse et cela ne me laissait pas du tout indifférent, mais à la fois je constatais que ce petit massage était loin de lui déplaire. Pendant que ces pensées venaient me chambouler, elle ajouta à mon émoi en prononçant à moitié pour elle-même : — Hummm, c’est bon. Je continuai donc en m’appliquant d’autant plus, restant interdit devant ces tétons durcis de plaisir. Durcis comme mon sexe d’ailleurs qui gagnait peu à peu en vigueur. — Continue surtout, c’est trop bon, souffla-t-elle de façon peut-être un peu trop lascive à mon goût pour être totalement innocente. Réalisant que j’avais déjà amplement dépassé l’attitude correcte à avoir envers une collègue de bureau, je découvris néanmoins que le corps peut parfois avoir tendance à s’affranchir des ordres du cerveau pour agir : doucement, imperceptiblement, progressivement, inexorablement, à chaque mouvement de mes mains, ces dernières gagnaient quelques millimètres, se dirigeant implacablement vers ses tétons durcis. « C’est encore mieux comme ça », voici ce que je cru entendre dans le pays magique et merveilleux où s’était réfugié mon cerveau. Je continuais alors et mes mains ont commencé à toucher le tissu de sa robe. Puis ont de nouveau gagné quelques centimètres. ...
    ... Désormais, j’étais dur et dressé comme un menhir dans mon pantalon, et les soupirs d’Evy avaient une toute autre saveur : je ne massais plus ses épaules, mes mains avaient atteint leur objectif. Je massais maintenant, doucement, ses seins. Je sentais leur volume, leur poids, je les tenais à pleines mains. À ce moment précis, je remerciai religieusement monsieur GAP de faire des caleçons et des pantalons aux coutures si solides. Sa main droite est restée sur sa souris, continuant à retoucher la photo sur l’écran. Mais sa main gauche a lâché le clavier pour passer derrière le dossier de son fauteuil et se poser sur le tissu tendu de mon pantalon. Elle prit délicatement mais fermement mon sexe tendu à travers le tissu et commença de très lents va-et-vient. Là, sans un mot, mais dans un échange de soupirs murmurés, je caressais les seins d’Evy tandis qu’elle me masturbait par-dessus mon pantalon. J’étais en extase. Peut-être trop d’ailleurs car, tout d’un coup, mes mains s’immobilisèrent quand je me rendis compte que j’allais jouir. C’est trop tard qu’Evy se rendit compte de ce qui se passait, lorsqu’elle sentit les spasmes de mon sexe et entendit le râle caractéristique qu’ont les hommes dans ce genre de situation, même si je tentai de le dissimuler de mon mieux. Autant vous dire qu’à ce moment précis, la saveur de cet orgasme était un peu amère et c’est bel et bien honteux que je réfléchis en urgence à ce que je devais dire ou faire. Je réalisai la gaucherie de cette situation, elle ...